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00h19 fin du poème qui ouvre ce jour. Bien sympa. Je ne pense pas pouvoir faire un tube comme avec “tu as le droit” mais j’investirai quand même.
Ayant bu un café il y a vingt minutes, il va de soi que je me suis choisi une nuit de veille. Que vais-je pouvoir y faire ? Des messages d’anges ? Du ménage ? Parler sur papier pour ne rien dire ? À ce stade c’est la troisième interrogation qui l’emporte. Mais que n’ai-je pas déjà dit ?
Depuis le mois de Mai les désirs dit aussi rêves sont plus que largement posés et développés, en plus la conclusion se trouve avec le temps futur… Le positionnement amoureux est lui aussi plus que clair, il me rappelle une pensée passée : “si le célibat devait durer un, deux ou trois ans, j’y arriverai en me disant, j’ai survécu, ni plus ni moins”. Et je survivrai !
La part de visibilité, de transmission et d’inspiration ? Les bénédictions sont nombreuses bien qu’aucun vrai échange ou lien ne se soit fait, je suis donc ignorant du regard du public sur mon partage, tout de même ravi de l’extrême majorité de pouces et de cœurs sur les 2-3 trolls passagers, donc Merci !
L’été est sur sa fin, la rentrée pour les parents et enfants est toute proche. J’en suis out n’ayant plus de lien avec mes ami.es parents. Le manège tourne et il repeint de nouvelles saisons ! C’est marrant comme avec des perspectives fixes, tout semble autant figé quand changement, boudu ça fait deux fois que j’écris cette phrase… Oulala y a un souci pour moi entre le train train et le changement… Rien de surprenant car pour moi tout changement dépend de l’évolution de la régularité du train train jusqu’au point de métamorphose, tel un ou des bouquins finis, des articles finis, un résultat pour le corps, pour les cheveux, pour l’argent et pour la carrière et pour le rêve amoureux. Majoritairement tout cela se passe sur place entre quatre murs, du printemps au printemps…
Aussi plus de 2 mois de décalage entre les post des chapitres du journal intime et les jours d’écriture font que je surf avec mon passé conscient du futur, nourrit au présent. Ça créer un léger bug… C’est chouette, je suis content de mes réalisations ! Et ça n’est que le début !
À présent il est 00h44, je me sens de peut-être écrire un autre poème puis de plonger dans les feuillets à la recherche de ma liste d’Oracles et de tatouages.
01h20, second poème fait. Reste plus que la recherche. Mais avant cela, petit cawa.
Purée, j’ai retrouvé hyper vite la liste de tatouages mais “impossible” de trouver la liste d’Oracles…
Bien voilà une nuit remplie d’une super activité, 04h20, j’ai trouvé mes 5 titres d’Oracles qui en plus ne sont même pas fou fou, ridicule. Mais je fête tout de même ceci avec un cawa !
Ah… Enfin, cinq Oracles en perspective. Ceci grâce au boulot que j’ai commencé et que du coup je ne pourrai pas diffuser avant la sortie des Oracles… À voir, surtout avec l’idée que pour les Oracles, je souhaite vivement être édité car trop de gestion en solo. Toutefois j’ai fait le job dans la nuit, bravo Jul !
Ainsi je n’ai même pas de nouveaux textes à écrire pour les Oracles. Juste à ne pas publier sur le site. Ensuite je verrai une fois édité. Fabuleux !
Bo là ce que je peux faire c’est de la saisie ou alors le chapitre sur la santé mais je sens que celui-ci demande encore de l’expérience.
Sinon, je diffuse les messages d’anges sur le site au fur et à mesure des parutions d’Oracles, yeah, excellent ! En premier je mets le poétique qui lui ne sera pas en Oracles, ceci avec le référencement de l’ange. Génial !
J’ai posé les 7 années d’édition. Après 2032, il y a une très longue série de qabbal et alchimie des religions. Mais je me propose de sortir pour 2031-2032 “Ciel de mythes et de possibles”. Puis 2032-2033 qabbal et alchimie des religions. Ce qui fait que dès 2027 j’ai à avoir fini la préparation des thèmes et avoir investi dans le logiciel. Ce qui me donne 2 ans et demi de manœuvre. À tenter.
Me suis mis en page 24 images du premier oracle. J’ai commencé le second mais arrivé à la cinquième image, difficulté à la trouver, j’en ai conclu que je suis fatigué et donc pause.
Je me suis fait deux super cadeaux, la mise en page du début des 2 oracles. Sachant que j’en aurai 5 d’un coup, trop chouette ! Mais ça demande du boulot et de la patience. Trois par trois, 24 par 24 et hop 5 Oracles dans la boîte ! Grandiose !!!
21h14, j’ai dormi jusqu’à 20h00. Ce matin nous avons eu un bel échange avec Angie. D’abord pour me témoigner son soutien à mes travaux en Oracles que je lui ai partagé puis un rappel, comme une redirection. Elle se sent en paix depuis plusieurs jours, dans un état de grâce où elle n’a plus besoin de conceptualisation, d’analyse ou même de réflexion. Elle est présente à elle-même et cela s’entend. Ceci m’a démontré que bien qu’en concept je suis extrêmement riche, en pratique je suis partagé entre la foi en mon “Je Suis” qui serait alors présent, profond et peu bavard et mon “Moi” qui lui de par son éventail de cartes sous le coude est habitué à jouer. Se jouer de lui-même, de son intellect, de la quête de légèreté par le rire. Il ne fait pas lieu d’une compète entre le Je et le Moi, plutôt un droit, me donner le droit d’être par Je, présent, profond sans masque et de laisser la joie et la tendresse faire le reste lorsque c’est approprié. Ça n’est pas sorcier, le seul hic est que ce Je ne se joue et se dévoile uniquement par choix dans mes relations avec autrui. C’est là que ça se complique étant donné que j’ai très peu l’occasion de relationner… C’est pourtant le seul espace de maîtrise, donc de choix appliqué. Seul, je suis en communication avec le Soi et les voix et je veille à mon discernement mais ça n’est pas autant engagé et puissant que peut l’être un échange humain.
J’ai toujours un léger souci de santé, au réveil plus virulent. Je ressens avoir fait la paix avec mes colères et chagrins refoulés aussi j’ai fait le tour de tout ce qui est à accepter comme terminé mais le Soi semble souhaiter autre chose ou autrement. De l’amour peut-être ? On ne peut attirer quelque chose depuis un espace de peur, si ce n’est quelque chose en réciprocité avec la peur. Une co-création se fait toujours depuis un espace d’amour, “la chance n’est autre que de l’amour qui assiste la connaissance créatrice” (Neale Donald Walsch). Et de la chance à guérir, j’en ai besoin ! Mais le besoin aussi est limitant car il indique que je manque de quelque chose, ce qui n’est qu’une illusion