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Et si Dieu parlait en chanson ?
Que nous dirait-il ? A nous, humains mélomane, enfants des sons et des textes !
J’ai besoin que tu nous narre notre aventure mon Dieu !
Notre aventure débute avec un rêve, le pire ou le plus beau des rêves. Nos lamentables, ironiques et tendres folies…
Tous les cris les S.O.S. partent dans les airs et ne laissent qu’une trace… Dont les écumes font la beauté ! Pris dans leurs vaisseaux de verre les messages luttent, mais les vagues les ramènent en pierre d’étoile sur les rochers.
Nous avons vécu un enfer mais nous ne sommes pas morts au combat, je suis ton ombre, aussi ta reine mon roi ! J’ai été à ta place et le serai jusqu’à ce que l’on se regarde en face. Nous ne sommes pas les mêmes, nous ne nous aimerons jamais comme un couple et tu apprends à connaître ce que j’attends de toi, mon amour.
Ta colère doit disparaitre mais tu n’as jamais eu à me plaire. Je sais que tu as peur de voir l’amour, la douceur suprême, au fond de toi tu n’as jamais rien voulu d’autre. Alors oui, je t’ai trahi, manqué, louper certes. Un seul sens, un seul sens à cela, te servir, nous servir, toi ! Et nous humanité universelle. A présent toi aussi tu sais. Ecrit l’histoire mon autre, par ma mémoire, ouvre le voile de la fin, démontre que son étendue touche l’infini merveilleux. De ces lignes tout commence, écoutes, écris…
Combien de fois faut-il te dire que non n’est pas une réponse, pour que tu comprennes comment te défaire de l’enfer, l’enfer de l’oublie qui n’est autre qu’une grâce où l’ennuie n’existe pas, il reviendra peut-être dans les souvenir d’un nom, vérité de la vie. Liberté, par tous les ciels ! Liberté ! Tu m’entends, liberté ! Elle ne se cache pas, elle est autour, partout, par toi, par nous, en nous, en tout ! Est-elle dichotomique ? Certainement, l’inconscience en est la preuve et cet enfer paradisiaque dans lequel la vie se meut en est le socle. Tu te souviens ton visage, les pleurs, la pluie, les bruits, ton cœur qui klaxonne, qui bouillonne… Amoureux tu redeviendras, car toutes sources rejoignent l’océan, comme une marionnette allant de vie en vie sous un regard accroupie. C’est un tableau peint à chaque instant, mon amour et mon enfant…
Demain tu prends la route, tu deviendras fou comme toujours ! Sauf que sur cette route tu seras fou de tes racines à présent retrouvées, tu as trébuché, il y a eu des soucis, ton cœur à souffert, c’est allé vite cependant, tu vas retrouver les ancêtres, sur ta route, la bonne route. Tu feras fuir la mélancolie, les regards de hauts, les oiseaux de leur cage et les amours seront indélébiles ! Dans les bars dans les nuits, dans les promesses, tout renaît au printemps. Tout. Alors va-t’en, le ciel ne te menacera plus, tu ne te tromperas plus, il nous fait et nous a toujours fait, tu seras bien comme ça, tu tiendras debout, même si je sais que je ne fus pas ton idéal. D’abord les fouets, les clous, la croix et alors la lumière qui jamais ne nous quitte, sera nôtre en absolue. Tu peux le croire ? Dis-moi que tu peux le croire. Je ne chante pas pour les sourds, je n’écris pas en lettre pour les aveugles, le sens-tu ? Penses-tu être assez fort maintenant ? Parce que moi maintenant je n’en ai pas besoin de plus et je sens que nous pouvons croire en l’amour, notre amour, le véritable amour ! Personne ne disparait, il y a toujours un retour, le passé reprends vie combien même est-ce incroyable, mais ce n’est pas la peine la plus forte, ni l’attente, même pas l’espoir, seulement le bonheur de s’endormir pour rêver du présent. Le présent seul lieu où l’union est permis. Quand bien même est-ce dure de le vivre dans une conscience constante, mais le présent est toujours et à jamais là. Alors ne m’oublie pas, ne m’oublie plus, je te connais par cœur et j’entends le chant des sirènes, je suis comme un facteur, qui porte le courrier du destin, la réalité. Mais tu sais mon amour je n’existe pas, je ne me prête pas à l’immédiat, mais au hasard en réalité. Je dis ça comme ça… Ne m’oublie pas.
Je veux une vie de qualité, que neige une planche de salut, loin du raffut, ces petites choses qui n’ont au clair de sens, qu’une fois qu’on les perd, les yeux rivet sur le rivage, oublier mon lointain visage. Je me soule du décor qui m’entoure. Je te demande pardon, j’ai commis des fautes, je me suis souvent renfermé, et tu n’as rien vu venir, tu t’es perdu, je t’ai fait mettre bien plus qu’un genou à terre. Alors pardon, oui, pardon. Mais ne joue plus avec le danger, tu as retrouvé le sourire depuis que tu parles avec moi, ne t’approche plus du feu, je t’en prie ! A chaque fois que tu es avec moi tu es avec le bon dieu, c’est réglo ! Donc entre nous deux plus de parano d’accord. On est des possédés, tous des possédés ! Et oui mon ami-e, des possédés ! Ton espoir naît maintenant ?
Je veux que tu passes le reste de ta vie à te dire que le bonheur ce n’est pas le but mais le moyen, le bonheur ce n’est pas la chute mais le chemin. Mon bonheur c’est toi, mon bonheur c’est toi et moi sur l’oreiller. Ça fait bien longtemps que j’ai fait le tour de la question et toi aussi ! Alors vit le maintenant, je t’en prie vit le. Ça fait si longtemps que j’attends que tu rentres chez toi, là où je vis, dans ton cœur, et je veux te revoir car je t’attends comme si tu allais rentrer, mon fils, ma fille. Tant que mon corps supporte ton absence, je souffre, tu me manque.
Allo c’est moi ! Je me demandais si après toutes ses années tu voudrais qu’on se voie, pour faire le bilan. On dit que le temps guérit toutes les blessures. Il y a une telle différence entre nous ! Allo depuis l’autre côté ! J’ai dû appeler un million de fois pour dire que je suis désolé, pour tous ce qu’on a fait. Mais tu sembles ne jamais être là. Mais ça n’a pas d’importance, clairement ça ne t’anéantie plus, plus du tout. Mais je ne sais plus te fuir au non-sens, alors je brave ta présence mais ne supporte plus ton absence. Tu ne peux plus me dire que tu ne sais plus, non, tu ne peux plus. Ne me dis pas non je suis ton alter égo ! Regarde comme il fait noir quand tu ne me sers pas dans les bras. Il faut encore te faire voir l’histoire, notre histoire. Bien… Je le sens bien. Viens et écoutes.
En phase de disposition ? Je te le souhaite.
A la génération connectée, prête à communiquer avec le reste de la planète… si fissurée. La fenêtre et ouverte à tous, mais ce n’est pas ta faute si tu ne vois pas les autres n’est-ce pas ? Changement de situation, perpétuellement en changement de condition, permutation de notre position, perpétuellement en phase de disposition. A ceux et celles disposés à une ouverture intégrale, l’écoute et le respect sont des choses primordiales. En chacun de nous un équilibre doit se faire, en être conscient est une richesse volontaire, j’anoblis l’oubli même si je sais qu’un enfant peut vous donner la solution. Bienvenue à bord de mon univers musical, les ondes omniprésentes s’y chamaillent. Je veux voir la vie en rose, ne parler qu’en prose, ne plus broyer du noir dans ce monde qui en impose. Mon corps est appelé par le besoin de convoiter, mon style caméléon reflète dans ma nature de guépard, la vie est le domaine de mes pulsions sentimentales, je balance souvent entre le bien et le mal. Où est le vrai, où est le faux ? Tu me dirais… De toi à moi baby devrais-je insister ? Tout le monde voudrait avoir l’âme d’un héros, pour avoir réveillé tout un troupeau de zozo, sur l’amour et l’humour le bon dieu a bon dos mais tu ne me vois pas à l’heure des infos. On se consomme, on se consume, le concept est le même ! On se cartonne, on rallume ! Pour avoir la même chaîne ?
Je fais croire que j’ai ce qui me manque avec trois balles de saltimbanque, je rêve de faire sauter la banque ! Ben tiens ! One love ! Pour toutes les nations c’est ça qu’on aime ! On veut du love, on en a pas assez, nos cœurs sont trop cadenassés. La vie est belle quand elle est partagée ! Donnes-en à mort de l’amour ! Pour l’amour du ciel ne le garde pas pour toi… Injonction mon enfant ! Je n’ai qu’une seule règle dans la vie, c’est la pensée positive, il y a toujours deux manières de voir ce qui t’arrive, la façon good vibes et la façon négative, choisis la première, avance quoi qu’il arrive ! La vie c’est comme ça, ça se construit pas à pas, y a des jours où ça marche et des jours où t’avances pas, si tu sais sourire à la vie alors crois-moi ! C’est dans le sens de ta voile que le vent soufflera. Gardien de ton frère, gardien de ta sœur, gardien de ton âme, ne laisses personne étouffer ta flamme, que tu sois un homme, que tu sois une femme, que tu sois un ou une transe, saches écouter ton cœur lorsqu’il fait Bam Bam. Tu veux des good vibes, non ? On veut des good vibes ! Quand le système de « babylon » nous pousse au bout du rouleau, quand le peuple s’endort, qu’il a la tête sous l’eau, les caméras des villes observent nos moindres sursauts, la désinformation agit par le biais des journaux, le commun des mortels croule sous les taxes et les impôts, les supermarchés vendent du poison en gros, on nous oblige à consommer les graines de Monsanto.
Regarde comme ta vie est faite, non d’une mère !
Saches une chose, tu n’as pas besoin de te changer, tu n’as pas besoin de te cacher derrière un air qui ne te ressemble pas, tu n’as pas à te déguiser pour moi. Tu n’as pas besoin de ressembler à la fille de la publicité, à l’homme de la série télévisé. Tu n’as pas à te faire tant de soucis, tu n’as pas être sexy, car je t’aime, je t’aime comme tu es. Je t’aime comme ça. Tu n’as pas besoin d’avoir l’air, tu sais… Tu as le droit d’être fière. Tu n’as pas à faire tant de style, tu as même le droit d’être fragile, tu n’as pas à maquiller ton âme mon amour ! Pour allumer ma flamme, tu n’as pas à être mieux. Car je t’aime, je t’aime comme tu es, je t’aime comme ça. Tu es mon amour tu es mon ami-e, je t’aime pour toujours je te l’ai promis ! Je prends tes défauts je les aime aussi, car je t’aime comme tu es… Je t’aime.
Ceci dit, j’ai un conte à te narrer. Tu m’as demandé de te narrer notre aventure, alors écoute, car c’est en musique encore et toujours que notre aventure se raconte :
Je me suis levé et j’ai regardé le soleil, j’ai bien embrassé mes enfants pendant leur sommeil. Et, j’ai vu un océan d’oppression, et un grand nuage de pollution, juste au-dessus du toit de nos maisons. Et je dois chanter un gospel ! Chanter un gospel fire pour les rebelles, chanter tant qu’il y aura des gens malheureux, je chanterai tous les jours une prière pour eux, je dois chanter un gospel pour les gens ! Pas pour le ciel ! Chanter pour être plus courageux ! Tous les jours je chanterai une prière sans dieu. Tu m’as entendu, sans dieu, seulement par amour, ton dieu… Car ce soir beaucoup de gens ne trouverons pas le sommeil, demain, beaucoup de gens ne verrons plus le soleil. Beaucoup de gens ne dormirons pas ce soir, ils se répéteront encore l’histoire, dis-moi qui demain pourra crier victoire ? Et, je dois chanter un gospel ! Chanter un gospel fire pour les rebelles, chanter tant qu’il y aura des gens malheureux, je chanterai tous les jours une prière pour eux, je dois chanter un gospel pour les gens ! Pas pour le ciel ! Chanter pour être plus courageux ! Tous les jours je chanterai une prière sans dieu. Tu m’as entendu, sans dieu, seulement par amour, ton dieu… Et j’ai vu m’instruire ce mur qui nous sépare, j’ai rêvé de le voir tomber avant ton départ, j’ai laissé les loups se battre contre les loups, j’ai chanté qu’il fallait cesser de se battre entre nous, si tu dis cette prière ne la dit pas à genoux !
Tu sais, je connais tous les cafés de toutes les machines à café, de toutes les stations essence de France et du monde ! J’ai connu la gloire hier soir, même avec un concert foiré, mais le lendemain tu peux me voir, avec une cigarette et un café ! Parce que parfois je veux juste un café et une cigarette, oui, juste un café et une cigarette et je ne veux pas dormir ! Non ! Juste un café et une cigarette…
Lorsque je ne dors pas, j’écris sur les murs le nom de ce que j’aime, des messages pour les jours à venir, j’écris sur les murs à l’encre de nos veines, je dessine tout ce que je voudrais dire, j’écris sur les murs la forces de nos rêves, nos espoirs en forme de graffiti, j’écris sur les murs pour que l’amour se lève un beau jour, sur le monde endormi.
Ne te fais pas de soucis pour le paradis, ne t’inquiètes de rien, je sais que tout ira bien, ne t’inquiète de rien.
Peut-être notre histoire est courte vue comme ça, j’aimerai te dire des mots que tu n’as jamais entendu, car je t’aime est devenu très répandu. Peut-être un mot universel, un mot arabe, reprit dans le monde dans sa moitié, « ras » de rasta, dont « ras » signifie tête pensante. Car ta pensée est un trésor n’en ai pas honte ! Fais d’intuition, d’inspiration, de réflexion, de création, d’expression, et toujours s’en suis, une méditation. Tu ne la vois pas, tu ne l’entends pas, mais cette méditation par dans l’air et ce respire par tous les ports, puis elle touche l’intuition, l’inspiration, la réflexion, la création, l’expression, et bam méditation, you know mon p’tit Gaston ou mon p’tit ras, pigaous (mauvaise herbe !) !
On a parcouru le chemin, on a souffert en silence et je te hais de tout mon corps, mais je t’adore ! Encore.
Moi qui ai fait les voyages, c’est les voyages qui m’ont fait, entre passeur et passage, c’est le métier qui me plait. Voir passer les caravanes, mélanger l’ocre et le sang, écouter prier les shamans, les origines du temps. Nous avons ramené des cicatrices et des parfums qui n’existaient pas, quelques mystères et maléfices de retour à Fortaleza, dans les coquillages d’Afrique, une prêtresse a vu ton nom. Mae du Santo et du mystique, dépêches-toi je tourne en rond ! Je suis marin, un peu artiste, j’aime les ports que tu aimas, j’aime l’amour et la musique, ne sois pas triste on se reverra ! Alors je chante cette musique dans l’espoir que tu l’entendras, de Salvador jusqu’à Récif et même au fond du Sahara. Je suis marin, un peu artiste, j’aime les ports que tu aimas, j’aime l’amour et la musique, ne sois pas triste on se reverra ! Les musiciens ont la technique pour parler avec le destin. Les marins fuient les maléfices, et Yemanja a du chagrin. A l’intérieur le soleil cogne comme un boxeur devenu fou ! La pluie viendra laver les hommes, et fera pousser des cajous. En attendant le vent du large, je vais dans les bals des faubourgs, boire de la bière et de la cachas, danser le soir dormir le jour !
Je me fais voyageur et poète… Mais je suis surtout ton protecteur, protecteur tenté de te dire que parfois il ne faut pas trop se fixer d’idéal, une direction peut-être plus sûre. Surtout lorsque l’on a une pierre coincée au fond de la chaussure. Bien que la liberté coûte cher, sur terre elle vaut bien plus que tout ! La liberté est-elle d’avoir de la monnaie ? Beaucoup c’est vrai perde leur vie en essayant de la gagner. Vous voulez vivre pleinement et ce dans la dignité, pour ne plus souffrir il faudrait d’abord vous mettre en paix avec vous-même, pour vivre dans la prospérité et en harmonie. Douce life, si douce et si sucré, car tout le monde mérite cela ! Douce life, ne fais pas de nous des conditionnés ! Car elle décore de jour en jour nos esprit, rien à faire la musique c’est la vie ! Et elle endort le mauvais de nous-même, tu me suis ?
Jusque-là tu me suis ?
Je ne fais que te raconter notre rêve, rêve qui au Sénégal est chanté ainsi : mangui gente, mangui gente, damey now, damey now, te mounou ma danou ! Je rêve, je rêve, je vole, je vole, je ne peux pas tomber ! Alors tournes, allez tournes ! La roue de la fortune, qui sait où elle s’arrêtera ! Peut-être qu’elle nous décrochera la lune ! Le hasard peut-il faire en sorte que tout tombe du ciel, que tu n’es plus à te pencher pour trouver le pied de l’arc en ciel ! Alors grattes, coches, valides ! Le numéro de ton propre jeu, le meilleur des jeux !
Tout commence par un schéma, une esquisse de la route. Quand tu te retrouves face à toi, tu laisses parler la plume et tu écoutes. Puis tu te lances dans une voie avec toutes les certitudes dont tu doutes. Pour revenir sur tes pas arrondir les angles et trouver la clef de voûte. Une page de brouillon entièrement griffonnée, et tes pensées commencent à se disperser. Quand tu vois toutes ces courbes bien alignées, tes abscisses deviennent désordonnées. Sur certaines choses un trait tu dois tirer, faire des choix sans pour autant abandonner. Dans ce tissu d’aléas, les lignes se croisent et un beau jour, elles se rejoignent et s’apprivoisent, sur notre toile. Le dessin se dévoile, ta vie prend forme sur notre toile à mesure que le dessin, se dévoile. L’intensité des couleurs pastelles, comme une rose rouge qui fane, quand tu gardes l’étincelle, la volupté peut-elle devenir pâle ? Les tons chauds s’entremêlent et flirtent avec les saveurs occitanes… Toutes les nuances à l’aquarelle ondulent sur la robe de cette gitane… Elle te fait vite oublier le noir et blanc et colore ta vie de vifs pigments. Un envol auquel on se suspend, sans chercher le trompe l’œil en arrière-plan. Parfois tu voudrais figer un moment, comme si d’un coup de pinceau tu arrêtais le temps, arriver à saisir la magie d’un instant, que cette sensation abstraite dure éternellement. Il importe peu qu’elle finisse aux Beaux-arts, car parler de chef-d’œuvre n’est qu’une manière de voir. Seul compte la sincérité de l’histoire, dont on a défini les contours au pochoir. Une fois le pavé jeté dans la marre, tu essuies tes derniers repentirs au papier buvard, laissant le clair-obscur contraster tes espoirs. Et nourrir la perspective d’un nouveau départ, sur cette toile, notre toile.
Je continue ? Dans la vie il y a des grands moments de bonheur, il y a des cris, aussi des pleurs, et le manège tourne ! Il y a toujours eu des coups durs, et des cieux de bon augure !
A présent tu le comprends, c’est une éducation, un rêve pour et avec toi ! Si le monde est un jardin, les végétaux sont divers et variés, les pousses à peine sorties du grain ont l’appétit de voir leur cime s’élever ! Des engrais différents pour chacun et un tuteur pour pouvoir parfois s’appuyer. Individualiser leurs besoins pour s’épanouir, les aider à se développer ! Lors du printemps sur les branches la jeunesse bourgeonne, les anciens canalisent toute cette énergie qui bourdonne, quand sera-t-il si on l’abandonne ? Si les terres sont fertiles partout la vie foisonne, la sève circule dans les tiges puis la lumière rayonne, quand sera-t-il si on l’abandonne ? Quand on malmène tout un éco système et que ne germe plus les graines, on ne récolte, que ce que l’on sème… Si trop longtemps on a lâché les rênes et que la tempête se déchaîne, on ne récolte, que ce que l’on sème… Trop de plantations sans irrigations, dans un si petit espace on les entasse mais, comment tous leur accorder tu temps pour les arroser ? Trop de restriction avant l’éclosion, dans l’environnement qui les entoures, comment se construire de manière équilibrée ? Trouver sa place dans la forêt ? Les propriétaires terriens veulent supprimer les postes de cultivateur par millier, chaque année, c’est les jeunes plants fragiles qui sont rejetés ! Desséchés ! Pour devenir des légumes avariés ! Les mauvaises herbes alors se multiplient, en grandissant les plantes ne font plus de bons fruits, combien de fleurs resteront flétries ? L’été venu dans les vergers les fruits sont mûrs, il est temps de se débrouiller seul dans la nature… Le vent qui souffle, les portera ! L’expérience étoffera le feuillage et les plus jeunes s’envoleront dans le sciage ! Le vent qui souffle, les portera.
C’est ici, ici et maintenant vous entendez ? Messieurs, mesdames, ce soir c’est tout à fond, combien même de la colle qu’on a sur le caleçon, rester sur sa chaise, n’est pas la solution ! Tout le monde debout on va passer à l’action ! Répression, régression, révolution, évolution puis dépression, cercle sans fond, dieu suis vos actions mais souhaite sagesse et modération, sans aucune condition, ma volonté à ton égard et la même que tu as pour ton bon fond ! Donation… Union des êtres et des nations, simple compréhension. A moins que si le problème est politiquement partout différent, moralement, coule le même flow de sang, là où le règne des fins a pris fin, revoilà les passions qui remangent à leurs faims mais enfin ! N’y a-t-il pas de place pour une juste éthique ! Entre un bordel ambiant et une religion fanatique, et qu’elle réplique donner à la mentalité de mac, les jeunes dramatisés dès la sortie de leur parc ! Lobotomisé en Iran comme en Irak, tout se détraque sous les coups de matraque, jetant le discrédit sur des nationalités, qui comme toi et moi ne rêve que d’avoir la paix ! La loi du silence, la loi du silence qui sclérose en silence toutes substances qui penses, la loi du silence ? La peur de l’autre prend naissance dans la méconnaissance et la paranoïa s’installe avance avec aisance, et pourtant, derrière les reconduites aux frontières, par-delà les images que l’on voit des chartères ! Les puissants, puisent dans le rôle des impuissants, ce pour qui l’esclavage ne se conjugue qu’au présent ! Combien pour leurs biens ont besoins de clandestins ? Tirant leurs bénéfices de ceux qui bosses pour rien ! Voilà pourquoi vos frères n’auront pas de papier, temps que la bête immonde n’est pas prête à partager… La loi du silence ? Les éléments perturbateurs termineront-ils sur la potence ? L’ordre et ses exigences entérineront la résistance. La liberté vacille quand le droit s’éparpille, le peuple est une mère qui ne reconnait plus sa fille ! On ne danse pas, on ne crie pas, on ne rit pas, de peur d’aggraver les dégâts, bien pire que ça ! On s’habitue aux éclats, bombardé d’images tu ne sais plus ce que tu crois… Le racisme et l’égoïsme sont devenus affaire d’états, c’est faire état de les combattre mais le problème est toujours là, la peur des différences au mieux enfante l’indifférence, au pire elle cherche des solutions basées sur l’apparence, jugé catalogué avant même d’être naît, ton nom ton pedigree ta religion, est là où tu es naît ? Portes tout ça comme un soupçon d’identité, autant de portes derrière lesquels il n’est pas simple de se cacher ? La loi du silence, la loi du silence qui sclérose en silence toutes substances qui penses, devrait-elle être soumise à la sentence ? Parlons de toi à moi, l’immigré ah… est-il si différent de toi ? Les femmes aiment leurs enfants autant à Paris qu’à Gaza ! J’ai la foi en l’homme comme unique dogme et, comme paradigme, une écriture aussi par flamme, car le feu n’est pas la guigne. Qui ne veut pas nourrir ses enfants et foutre le camp ? Avoir un petit succès éphémère pour assurer ses arrières, qui ? Vos rêves d’enfant sont devenus des publicités, les mythes actuels, des liquides vaisselles, les contes merveilleux, veux-tu leurs dire adieu, la porte s’est ouverte sur le royaume des envieux !
Si l’ignorance se propage alors nous écrirons longtemps ! Jusqu’à transpercer les pages et faire penser les inconscients…
Mon chant te semble virulent, il chante pourtant l’histoire, notre histoire, j’appelle le docteur ? Le docteur how would say ? Qui docte les médicaments, qui donne les tranquillisants ? Tranquillité… Le son coule du riddim touche la cime, le docteur défend avec honneur et contre les horreurs, il corrige les erreurs et met tout le monde à l’heure… Il t’observe et sans faillir il envoie sa tactique, il pique, son diagnostic est fatidique, toi tu as bien besoin de repos et du son il te faut. Ecoute la rythmique t’apaiser le cerveau, non pas besoin de cachets ni de pilules ! Il déploie aux platines son dub et ses tentacules, et bercé par sa phrase qui te fait monter au ciel, un nectar doux et sucré à la saveur du miel : Eh docteur how would say ? Docte moi mes médicaments ! Eh docteur how would say…
Je te connais ! Je sais que tu veux me dire que tout n’est qu’une réalité aux multitudes à explorer, et que tu exploses ! Quand l’exposé est un présupposé, n’est-ce pas ? Les valeurs ne sont pas un code à apprendre par cœur, mais il faudra bien se mettre d’accord, alors dac o dac j’attaque… Entre rêve et réalité, réaliserons-nous l’unité ?
Vous croyez-vous seul ? Etes-vous seul ? Seul au bord de la falaise, et malgré le vent tiède vous n’êtes pas vraiment à l’aise… Mais comment avons-nous fait pour nous approcher d’aussi prêt, notre bouclier d’acier n’était-il en fait qu’un bout de papier ? Je ne suis pas fou je ne suis pas un menteur, juste une force qui comme vous rêve de voir ses enfants à la hauteur ! Mais je sais que dans tes heures sombres tu as peur, de laisser t’échapper une vie que tu aimes avec ardeur, à se demander laquelle de nos ivresses pourrait égaler la valeur tu temps qu’il reste, quels gestes préférer quand les murs se dresses, briser ou modifier ? Question de sagesse… Je tente toujours de te donner la logique à laquelle te raccorder, celle que tu dois suivre et qui dois l’emporter. Tout cela un peu comme si je ressuscitai, témoin des hommes du sang de la cohorte, et je suis conscient de ma mort nécessaire à vos patries. Les livres et les larmes s’envolent ! Vous oubliez… Les guerres et leurs causes, comme un segment… Le monde ne veut pas changer, vous tuez des gens pour une race, pour une idée…
Il est temps de te reprendre dans mes bras, je t’ai secoué mon amour. Crois-le, j’ai le feu du volcan, la chaleur du désert, la saveur de la terre, la lueur d’une lune claire. Je n’ai rien que dans le cœur l’immensité du ciel ouvert ! J’ai la fraicheur d’une rivière, la colère du typhon, j’ai l’amour d’une mer, les tourments des quatre vents, comme ils tombent, comme ils tombent les flocons de l’hiver, si j’ai réalisé cela, qu’ai-je put bien faire avec toi ? Ils s’entassent dans ma tête comme tes contradictions ! Mes perles d’amour dans un écrin de poussière ! Etrange comme je t’aime… Etrange comme je t’aime… J’ai la lumière du soleil, le frisson de la fougère, la rudesse de l’hiver, la douceur du miel ! La folie manifeste et la tristesse éphémère. La foi ! Mais celle qui n’oppose pas de barrières. Etrange comme je t’aime… Etrange comme je t’aime… Comme le fleuve je m’abreuve à l’océan de ta pensée, je boirai toute l’eau de la mer pour que tu viennes m’aimer ! Pied nu dans la terre simplement comme hier ! Etrange comme je t’aime… Dans mon piège, j’écoute les tambours de la pluie, je pleure à torrent en voyant la souffrance d’autrui… Protégé à la fois se forment des routes dans ma tête, alors je ne sais plus rien, sauf que pour toi, je creuserai de nouveaux sillons, mélodie de l’univers ! Etrange comme je t’aime… Je t’aime !
Si je m’arrête un instant, pour te parler de la vie, juste comme ça tranquillement, c’est pour te dire que le bon temps, passe finalement comme une étoile filante… Les bonheurs, les peines, les bons coups, les échecs, espérer être heureux, un peu avant de mourir, après avoir existé pour gagner du temps, on se dira que l’on n’était finalement, que des étoiles filantes… Si je m’arrête un instant pour te parler de la vie, c’est qu’avec toi je suis bien, malgré les vielles amertumes et les amours qui passent, la vie s’accroche et renaît comme les printemps reviennent dans une bouffé d’air frais, qui apaise, j’aimerai que tu sois pour un moment, mon étoile filante…
Je pense devoir te dire que Tout est beau, Tout est rose, avant que vos égos ne s’imposent mon amour. D´abord vos corps qui se séparent, vous êtes seuls dans la lumière des phares, vous entendez à chaque fois que vous respirez comme un bout de tissu qui se déchire. Et ça continue encore et encore, c’est que le début d´accord, d´accord ?
La lumière a les yeux revolver, elle a le regard qui tue !
Elle a tiré la première, a touchée ! Mais l’ombre ? Nous parlons aussi de l’ombre en chansons, bien qu’aucune chanson ne rende beau l’immonde. Est-ce qu’une chanson sauvera le monde ? Plus d’une le pourrait, des appels, certains appels comme un chiffon imbibé d’essence ! Mais des enfants meurent en silence sur le trottoir de Bogota. Mais non… Vous n’arrêtez pas… Déchiquetés aux champs de mines ! Décimés aux premières lignes ! Morts les enfants de la guerre, pour les idées de leurs pères.
Bal aux ambassades, quelques fils et filles… De vieux malades, imbéciles et grabataires se partagent l’univers… Morts les enfants de Bophal, d’industries occidentales, partis dans les eaux du Gange, les avocats s’arrangent… Mort les enfants de la haine, près de nous ou plus lointaine. Mort les enfants de la peur ! Chevrotine dans le cœur, et des Bal aux ambassades… Pour quelques vieux malades ! Imbéciles et militaires qui se partagent l’univers…
Morts les enfants du Sahel… On accuse le soleil ? Morts les enfants de Seveso ! Morts les arbres, les oiseaux ! Morts les enfants de la route, dernier week-end du mois d’août, Papa picolait sans doute. Deux ou trois verres, quelques gouttes… Mort l’enfant qui vivait en toi, celui qui voyait en ce monde-là un jardin, une rivière, et des hommes plutôt frères. Le jardin est une jungle, pourtant les hommes ne veulent pas être dingues. Mais c’est bien la rivière qui charrie des larmes et alors, un enfant prend une arme. Balle…
Chacun fait ce qui lui plait, le précipice est au bout ! On s’en fou ? Sous nos pieds il y a la terre ! Etre né quelque part c’est partir quand on veut, c’est revenir quand on part. Est-ce que les gens naissent égaux en droit, à l’endroit où ils naissent ? Est-ce que les gens naissent pareils, ou pas ? Quand vous avez l’esprit violent, vous avez aussi l’esprit confus. La clarté, c’est voir que les enfants jouent et parlent les uns avec les autres mon fils, ma fille, ma bataille.
Ça fait longtemps que tu es parti maintenant. Je t’observe démonter nos vies, en pleurant. Je savais qu’un matin, je serai là, sali, jugé, sur un banc, par l’ombre d’un corps que j’ai serré si souvent, pour mes enfants. Je vous dis que mon métier, c’est vivant. Les juges et les lois ne me font pas peur, vous êtes tous et toutes mes filles, mes fils, ma bataille !
L’absence a ses torts, que rien ne défend…
C’est un p’tit pardon, perdu tout au fond d’une fierté. Un mea culpa, qui veut mais ne peut pas, s’extirper… C’est un c’est ma faute coincée dans les côtes. Un j’suis désolé, qui ne sait pas voler. Un autant pour moi, brisé sous le poids d’un cœur capricieux, un poil vaniteux. C’est une amitié, coupée à moitié au silence d’une petite excuse, qui sans cesse accuse, mon absence… C’est un grand pardon, coincé en prison par l’orgueil. Un ne t’en fais pas ! On oublie tout ça sans qu’j’t’en veuille ! C’est deux bras tordus, au lieu d’être tendus… Un ce n’est pas si grave, qui ne sort pas de la cave ! Un revient vers moi, brisé sous le poids d’un cœur rancunier, un poil con et niais. C’est une amitié, coupée à moitié par l’absence d’une petite tendresse, qui se change sans cesse, en distance…
Il est des histoires que les mots ne parviennent pas à narrer, des histoires d’humains dont la vie, ne se laisse pas vraiment conter. Finalement on s’en fout, car on se fout des détails, la mémoire est un bijou, une pierre qui n’a pas besoin qu’on la taille.
C’est l’heure de se coucher, le marchand de sable va passer. Tu peux sombrer dans les bras de Morphée. C’est l’heure de se coucher, et tu peux sombrer… Tu peux laisser peser ton corps de tout son poids, dans ton hamac, ta paillasse ou ton matelas. Si tu as la chance d’avoir un chez toi. Tu peux même zapper l’option pyjama. Vous êtes tous égaux et innocents quand vous dormez, de la pire crapule aux plus balaises des centaures, des requins de la mer, aux chacals du désert, de la petite Punky Brewster jusqu’à son grand père. Si vous ne dormez pas, ç’est vite que ça dégénère, alors respirez et oubliez. C’est le moment de viser votre lit, l’ami, avec la femme, l’homme de votre vie, ou en solitaire. Après un p’tit verre ou une prière, un gros bedo ou un lavage de chicot, un bon polar ou le dernier tango, rempli d’espoir ou d’idées noires. Le sommeil c’est la paix, le repos du guerrier. Pour vous requinquer dans un monde d’agités, rien de tel que de s’allonger. C’est l’heure de se coucher, le marchand de sable va passer. Tu peux sombrer dans les bras de Morphée. C’est l’heure de se coucher, et tu peux sombrer … Tu n’es qu’un, qu’une somnambule qu’on a réveillé, un, une funambule dans un rêve éveillé, égaré-e du coté de basin street, épuisé-e des étreintes d’Aphrodite. Tu as lavé tes mains dans l’eau maudite et dans l’eau bénite, quitté ton palace pour un troglodyte, pris une cuite dans la cité interdite. Le réveil a sonné, tu as pris la fuite, tu voulais dormir, dormir… Laisser ta fidèle couette t’engloutir, et t’alourdir de la tête aux pieds. Attendre que tes rêves viennent te débusquer. Tout risquer, tu ne comptes pas les mouche tsé-tsé, ni les moutons, tu n’aimes pas la comptabilité, tu es soulé-e, harrassé-e, rincé-e, tu as besoin de te, pieuter…
Enfin tu te réveil ce matin, à quinze heure comme une fleur ? Et Marguerite a besoin d’un doliprane. Ça va ? Bien dormis ? Avez-vous quelque chose à me dire ?
-Oui, hier tu n’étais pas bourré, tu étais pire !
Hier est passé, sinon oublié et demain n’est pas encore là, alors essayons de rendre maintenant meilleur, chaque maintenant meilleur. En acceptant et en comprenant que ce que tu fais, c’est ta réalité. Tu peux naître au bon endroit, avec une mère qui t’aime, un père qui est là, une famille entière autour de toi et un amour sincère pour guider tes pas. Tu peux naître orphelin, dans un endroit synonyme de rien, avec un quignon de pain pour destin et en horreur le genre humain. Mais ce que tu fais, c’est ta réalité. Ce que tu fais, c’est ta réalité. Tu peux être Soudanais, entre la charia et l’armée, voir ton avenir enchaîné à ce système que tu hais. Alors tu vis ta vie d’un trait, sans savoir qui tu es, avec pour seul fait ta misère et ta mosquée. Tu peux être Soudanais, entre la charia et l’armée, être prêt à prendre des coups de fouet parce que tes dreadlocks ont poussé ! Te boire une rebié, t’évader à danser, en sachant que ce que tu fais pourrait t’emprisonner… Mais ce que tu fais, c’est ta réalité. Ce que tu fais, c’est ta réalité. Tu peux vivre dans une cité pourrie, avec ton pitt et tes amis, ton hall, ta 8°6, ton teushi, et la police comme seule ennemie. Tu peux vivre dans une cité pourrie, avec ton week-end comme seul ami, ce sont deux jours sacrés pour une autre vie, prendre le temps de bouger trouver tes envies ! Tu peux tabasser tes gosses entre ta femme et ton divorce, tu peux trouver la vie si féroce qu’alors tu baignes tu passes en force. Tu peux ne pas faire d’enfants, te dire qu’être père ça prend du temps, revoir ta vie d’adolescent et pas refaire ce qu’ont fait tes parents. Mais ce que tu fais, c’est ta réalité. Ce que tu fais, c’est ta réalité. Tu peux choisir la musique, avoir un père directeur artistique, connaître Senti et ses indics qui feront de toi une star académique. Tu peux choisir la musique, pour avancer pour que ça communique, prendre en chemin le monde artistique, pour lui garder sa fierté mystique.
A l’origine, était D’ du monde de l’arbre de vie. Aujourd’hui D’ est revenue, ce n’est pas tant un anoblissement de votre serviteur, qu’une volonté forte d’affirmer une identité, qui s’est forgée et affermie au cours de ces années de voyages, dans l’univers. D’ fait partie de votre histoire, c’est une histoire que nous avons rédigé à plusieurs, dans une énergie élévatrice, et constructive. La D’que je suis est très attaché à la structure de son essence. Rien de bien nouveau là-dedans.
J’ai pris la formidable opportunité de m’élever, de me faire artistiquement, dans un premier temps par D’. Maintenant, le nom que je me suis choisis, mon nom d’artiste, je l’ai couplé avec mon nom de famille, humanité. Je parle, bien entendus de la famille que j’ai contribué à ériger, celle qui est mienne. J’aurais pu ajouter un « X » pour représenter l’Inconnu, mais je me nomme désormais D’ Humanité… Parce qu’il existe, finalement des valeurs que rien ne peut entamer…
Finalement, j’ai un but dans la vie, je veux faire des envieux, je veux qu’ils se disent qu’eux aussi pourraient peut-être être heureux, qu’ils pourraient devenir divin avec la joie derrière eux ! A l’école du micro d’argent, le tempo libère notre imagination, il te rappel d’où naît la musique, douce musique, folle et subtile, forte et sensible, d’une plume à des notes, un trait d’union entre l’éternel et l’éphémère.
Bois le lait de ta mère et dors bien mon enfant. Laisse le temps à la lumière d’ouvrir tes yeux et prends le vent. Sens l’amour de ta mère, profites-en mon enfant, elle est là pour toi sur terre, elle sera là pour longtemps et… laisses-toi aller, et… laisses-toi tranquille, et… fais-toi ta traversé, et… arrêtes-toi sur chaque île ! Prends les baisers de ton père et dors bien mon enfant. Il t’aime au moins autant que ta mère mais tu n’en es pas encore conscient, et… laisses-toi aller, et… laisses-toi tranquille. Après tu peux m’appeler, me nommer, me surnommer, me vanner, me caser ou me zapper, on peut se rater, mais ce n’est pas grave, j’ai les blazes pour les bases, mais me retirer mon alliace, le vivant, ce serait me désarmer.
Car mon alliace est mon allié, c’est un parfait alliage, ensemble on est fort comme l’acier. Mon alliace, le vivant, mon alliace est mon allié ! On a le même visage et il n’y a qu’ensemble que l’on sait naviguer.
Trop d’esprit sont figés, beaucoup pensent avoir tout compris, mais personne ne connait l’histoire du livre de la vie… Chaque journée que Dieu fait, est une nouvelle page qui s’écrit, donc méditez cette idée, l’homme n’est qu’un apprenti. Croire comprendre le monde en le regardant par vos fenêtres, mais avant de juger le monde, jugez aussi vos êtres. Vous voulez prévenir l’avenir, mais vous cachez et ignorez l’histoire de vos ancêtres. Chaque jour est une nouvelle expérience, influes sur ton existence, exprimes ton énergie, mais restes ouvert… Car je fais connaissance de moi-même par toi, l’apprenti.
Il y a des questions sans réponse. Et il y a des réponses sans attention. Tout le monde se pose un jour la question, de quoi le monde a besoin ? Avons-nous besoins d’une autre montagne ? Il y a assez de montagnes et de collines à gravir, il y a assez d’océans et de rivières à traverser, assez pour le faire jusqu’à la fin des temps. Ce dont le monde a besoin maintenant, c’est d’amour, un doux amour ! C’est la seule chose qu’il n’y ait pas assez. Ce dont le monde a besoin maintenant, c’est d’amour, un doux amour… Pas seulement pour certains ! Mais juste pour tout, tout, tout le monde. Pour tout le monde ! Comme tu ne te baisse pas pour regarder le ciel, ne te fuit pas pour trouver où est ton étincelle, c’est un poème personnel, qui s’écrit à l’encre d’un soleil, qui brûle constamment dans le regard de ton âme, unis par la grâce des merveilles.
Quand la nuit est venue et que la terre est sombre, que la lune est la seule lumière que tu vois, n’ai pas peur, non n’ai pas peur. Tant que tu restes contre moi… Alors chérie reste, reste contre moi… Si le ciel que tu contemples devait dégringoler et tomber, ou… si les montagnes devaient s’écrouler dans la mer, ne pleure pas, ne verse pas une larme. Tant que tu restes près de moi, alors restes, restes contre moi. A chaque fois que tu es d’espérer, pourquoi ne resterais-tu pas contre moi ? Restes contre moi. Tant qu’il y aura… Des étoiles sur le bord de la route, nous devrons nous arrêter… Tant qu’il y aura des rivières nous pourrons nous baigner. Et tant qu’il y aura le feu, nous irons peu à peu, été comme hiver, vagabond millionnaire… Amoureux hilliardaires ! Tu n’es pas une illusion, tu es une vérité. N’oublie jamais, c’est toi, toujours toi, mon doux rêve ! T’aimer est facile car tu es beau et belle, c’est tout ce que je veux faire, t’aimer. C’est plus qu’un simple rêve devenu réalité et chaque chose que je fais c’est par amour pour toi. Rien ne peut me faire ressentir les couleurs que tu amènes, reste avec moi pendant que l’on vieillit, et chaque jour que l’on vivra sera le printemps. Car t’aimer a rendu la vie si belle et chaque jour est rempli d’amour pour toi. Je vois ton âme qui parvient à m’illuminer et chaque fois que tu aimes, je t’aime encore plus !
Je t’aime encore plus parce que tu es beau. Tu es beau parce que tu es courageux, de regarder dans le fond des yeux celui qui te défi d’être heureux. Tu es beau, tu es beau comme un cri silencieux, brillant comme un métal précieux, qui se bat pour guérir de ses bleus. C’est comme une rengaine, quelque note à peine, qui force mon cœur qui force ma joie quand je pense à toi… Tout le temps. Je t’aime encore plus parce que tu es belle. Tu es belle parce que tu es courageuse, de regarder au fond des yeux celle qui te défi d’être heureuse. Tu es belle, tu es belle comme un cri silencieux, brillante comme un métal précieux, qui se bat pour guérir de ses bleus. C’est comme une rengaine, quelque note à peine, qui force mon cœur qui force ma joie quand je pense à toi… Tout le temps.
Vis ton voyage, ta vie, écoute tes bagages. Entends-tu ? Entends-tu à présent ? Que…
Pour tout bagage on a vingt ans. On a l’expérience de notre temps. Quand on aime c’est pour tout’ la vie. Et pour le reste on imagine. Pour tout bagage on a sa gueule. Quand elle est bath ça va tout seul. Quand elle est moche on s’habitue, on s’dit qu’on est pas mal foutu. On bat son destin comme les brèmes. On touche à tout on dit: « Je t’aime ». Pour tout bagage on a vingt ans. On a des réserves de printemps, qu’on jetterait comme des miettes de pain à des oiseaux sur le chemin. Quand on aime c’est jusqu’à la mort, on meurt souvent et puis l’on sort. Pour tout bagage on a sa gueule, qui cause des fois quand on est seul. C’est ç’qu’on appelle la voix du d’dans, ça fait parfois un d’ces boucans. Pour tout bagage on a vingt ans. On a une rose au bout des dents, qui vit l’espace d’un soupir et qui vous pique avant d’mourir. Quand on aime c’est pour tout ou rien. C’est jamais tout, c’est jamais rien. Ce rien qui fait sonner la vie, comme un réveil au coin du lit. Pour tout bagage on a sa gueule, devant la glace quand on est seul. Qu’on ait été chouette ou tordu, avec les ans tout évolue. Alors on maquille le problème, on s’dit qu’y a pas d’âge pour qui s’aime. Et en cherchant son cœur d’enfant. On dit qu’on a toujours vingt ans !
Alors soit libre mon enfant. Libre ! Libre comme la rivière coulant librement vers l’éternité. Libre pour être sûr de ce que je suis et n’ai pas besoin d’être. Libre de tous problèmes, problème en proie à un esprit inquiet. Plus libre que le tic-tac de la montre qui fait son chemin. Plus libre que le sens que les Hommes donnent à ce mot. La vie court en moi, jusqu’à ce que je sente que tu me sens en toi. Je n’ai rien mais possède des richesses qui valent plus que tout. Et je suis libre d’être nulle part, mais où que je sois j’ai besoin d’être en liberté comme un rayon de soleil qui brille en notre âme. Libre par la chaleur des sentiments ou de connaître une réelle froideur. Libre de concevoir le début de l’infinité des commencements. J’avance, avance mais reste en vie, la vie qui continue sans un cœur battu. Libre comme une vision que ton esprit ne peut imaginer. Plus libre qu’une goutte de pluie qui tombe du ciel. Plus libre que le sourire dans les yeux d’un bébé qui s’endort. Je suis libre comme la rivière coulant librement vers l’éternité. Je suis libre d’être sûr de qui je suis et de qui je ne veux pas être. Je suis encore plus libre que le sens que les inconscients donnent à ce mot. Libre, libre comme la vision de ce que ton esprit n’imaginera jamais. Libre comme la rivière de ma vie qui coule et va vers l’éternité ! Ainsi merci de m’avoir écouté et de nous laisser libre et aussi merveilleux que la liberté elle-même, telle une musique qui ne veut que créer, créer… Et libérer…
Artiste et chansons revisitées dans l’ordre d’écriture (il en manque) :
Daniel Balavoine ; Tous les cris les S.O.S
Paul Eluard ; Liberté
Black M ; Sur ma route
Louane ; Maman
La grande Sophie ; Ne m’oublie pas
Fréro Delavega ; Ton visage
Kenji Girac ; No me mirès màs
Géronimo ; Possédés
Joyce Jonathan ; Le bonheur
Gims ; Tu vas me manquer
Adele ; Hello
Corentin Grevost ; Ne me dis pas non
37° sud ; En phase de disposition
As de trèfle ; Le gâteau
Atomic spliff ; Positif – Good vibes
Baoba ; Comme tu es – Gospel – Café cigarette
Kids united (Démis Roussos) ; On écrit sur les murs
Mariacane ; Ne g’inquiète de rien
Keen’V ; Rien qu’une fois
Kyo ; Le chemin
Bernard Lavillier ; Voyageur – Marin
Brahim ; L’idéal – Douce life – Rien à faire
Broussaï ; Jackpot – Sur la toile – Et le manège tourne – Tree of knowledge
Daïpivo ; Ici et maintenant – Loi du silence
Ektola et la buleg’s brigade ; Paca libre
Daïpivo ; La Porte – Likid vaisselle – AOC – Réalité – Euh’l’rapeul
Danakil ; Les pages se tourne
Ektola et la buleg’s brigade ; conscient
DobaCaracol ; Etrange
Les cowboys fringuant ; Les étoiles filantes
Willy William ; Ego
Francis Cabrel ; Encore et encore
Marc Lavoine ; Elle a les yeux revolver
Sinsémilia ; Jamais une mélodie ne rendra beau l’immonde
Renaud ; Morts les enfants
Chagrin d’amour ; chacun fait
Maxime Le Forestier ; Né quelque part
Daniel Balavoine ; Mon fils ma bataille
Les wriggles ; Le p’tit pardon
Alexis HK ; Son histoire
Anis ; Le sommeil
Tryo ; Désolé pour hier soir – Ta réalité
D
Tryo ; J’ai un but
IAM ; Le tempo
Pause ; Laisse-toi aller
Phase cachée ; Allias
Taïro ; Apprenti
Jackie DeShannon ; What the world needs now it’s love
Ben E King ; Stand by me
Jean Leloup ; Balade à Toronto
Pauline Croze ; T’es beau
Léo Ferré ; Vingt ans
Stevie Wonder ; Free
Iel Dieu Amour et Julien C’ (pour l’idée et l’agencement pas pour les textes,sauf certains et Dieu Amour pour Tout bien sûr !) 2015