Réveil vers 07h00 suite à un rêve avec des enfants puis un cauchemar où j’accompagnais un gamin dans un bâtiment (peut-être Robin), on croisait des lascars dont l’un que je connaissais (Medhi), le gamin partait avec lui, moi je les perdais de vue, je montais les marches et passais les étages qui se rétrécissaient au fur et à mesure jusqu’à l’écrasement et bim, réveil.
Mais quelle surprise de voir qu’au réveil Fati m’avait dit bonjour et envoyer une bonne blague ! Cool ! D’où le titre du jour. Par contre comme c’est une prescription de 3 doses par jour, je ne sais pas encore comment fonctionne une dose…
Il pleut, gris.
J’ai déjà bu les cafés. La journée va être longue… De plus, j’écris mal mais je rectifie le tire en changeant de page.
M’étant endormi a prêt de 03h00 du mat’, j’ai peu de sommeil, 4 heures exactement… Au réveil, d’une j’ai tapé un flippe avec le cauchemar, deux je me suis précipité “sur” Fati. J’en ai le cœur qui palpite et les pieds qui tremblent (impatiences dans les jambes et les pieds soit disant duent au traitement). Il s’agit donc de se calmer.
Comme la journée démarre tôt, je ne me vois pas attendre 15h15 pour lancer l’activité radiateurs et tâches, je choisis donc de mettre l’alarme à 11h11 (quel ange !) et à 12h12 (c’est maintenant !), pour me donner le choix. Ce qui me laisse au minimum 03h06 pour déjeuner et me réveiller !
Peut-être vais-je lire ? Écrire ? Parler à Fati ? M’ennuyer ? Peut-être… D’autant qu’avec ce que j’ai écrit depuis 3 jours, je ne vois pas ce que je pourrais planifier de plus… Hormis me faire des plans sur la comète avec Fati, chose que je préfère éviter, Day after Day, dose after dose, time to time.
Par contre il y a une chose dont je ne souhaite pas me priver d’écrire, c’est :
-« Seigneur, quels miracles m’offres-tu aujourd’hui ? »
-« Seigneur, par quoi vais-je être surpris, étonné, réjouis, émue, émerveillé ce jour ? »
-« Seigneur, qui sera présent ce jour ? »
-« Par Tout mon Amour Seigneur, Merci ! »
Déjà, Fati a été présente dès le réveil. Le cauchemar, si je trouve une signification, sera un miracle.
L’escalier, qu’il monte ou descende, représente une progression en conscience. Le rétrécissement symbolise le détachement. Je suis donc moins attaché à l’évolution de ma conscience. La séparation d’avec l’enfant met en garde de ne pas me couper de ma nature première, innocente…
Hop, une news de Salie, encore des difficultés… Cette fois c’est la voiture qui foire et Raph qui a une “maladie” rare aux lombaires et peut-être au dos. Lombaire qui “égale” rapport au “avoir” dans un domaine où un autre, qui renvoie à ne pas se sentir soutenu… Pas étonnant avec une part d’intolérance de la mère et le rejet du père qui ne lui pardonne pas d’être venue au monde… Ils savent voir les fautes des autres mais pour les leurs, waw pauvre… Enfin, c’est leur choix d’évolution. Je préfère le mien finalement sous un angle il paraît bête, avec le fait de m’être pris les pieds dans l’plat avec mes “bêtises”/casseroles et en m’étant fait des films mais une fois sorti du remord et du regret de la fiction, il semble que mon parcours d’évolution soit on ne peut plus intelligent et positif. Le simple fait d’avoir bilantisé les rêves réalisés montre de la reconnaissance envers moi-même et envers la vie/Dieu (ou divin ou le terme que chacun chéri). Donc Bravo Jul. Tu es un winner. D’autant qu’à partir de là, je peux mettre au passé les rêves déjà réalisés et aller vers les nouveaux.
Et hop, Fati apparaît ! Miracle ! (De la lucidité et de l’honnêteté !). Excellent l’échange ! Joyeux, intelligent, clair, respectueux, drôle, génial ! Vivement le Soleil et tout redeviendra parfait. De plus, la maturité m’a fait comprendre un truc génial. Fati me plaît mais elle n’est pas forcément ou assurément mega canon. Mais je suis déjà sorti avec des femmes qui ne me plaisaient pas plus que ça et avec qui je n’accrochais pas tant que ça finalement. Donc ça vaut vraiment le détour !!!
Niveau Master en compréhension relationnelle ! Les travaux offrent des services, c’est donc un don heureux pour les gens qui m’aiment. Ainsi, si tu me connais, me fais confiance et que tu m’aimes, tu es censé être heureux.se de pouvoir compter sur le service de guérison spontanée de bibi, sur le service connaissance de Soi avec l’astro-angéologie de bibi, ravi de passer un bon moment avec les bouquins et comblé de par la gentillesse et la rigolade atypique du “seigneur”, lol. C’est dit !!!
Et bien sûr si tu aimes et donc m’aimes vraiment, tu en redemande régulièrement ! C’est le principe d’avoir un expert parmi ses proches, logiquement on ne va pas voir la concurrence… Ça aussi c’est dit et cela est le test ultime de mes nouvelles et vraies relations ! Yeah, super cap de franchi ! C’est trop chouette d’évoluer intelligemment en se questionnant correctement. Bravo Jul ! Autre miracle du jour. Merci Seigneur ! Ceci aussi décomplexé grave et libéré totalement envers l’avenir relationnel et professionnel. Fabuleux ! Merci !!!
Ceci est une compréhension digne d’un coach expert, car c’est la clé des relations familiales, amicales, amoureuses et professionnelles, fluides !
La miss Fati m’a offert bienveillance en me prévenant de son absence durant une trentaine de minutes. Et l’expertise en amont me donne un amour propre tel que j’ai envie de relire mes récits d’expert ! Donc go, énième relecture !
Aprèm excellente au tel avec Fati. Mais voilà qu’une folie, m’indiquant au sujet de mon vrai rêve amoureux, apparaît. Son aînée à 29 ans est se prénomme Eva… Et si mon rêve de petite Eva, portrait craché de Brunette aux yeux noisettes, était en fait la version enfant de My Big Lova (Annabelle) et que ça soit la fille de Fati ? Fati avec qui je m’entends super bien et qui porte le rêve autre que Brunette, version mature et version moult points communs et affinités. Quoi qu’il en soit rien à craindre, Fati est déjà une perle du hasard et peut me permettre de faire le deuil de Brunette. Mais si j’ai vu juste ? Le seigneur est le plus Grand des Artistes !!! Inchallah et ou chukran quoi qu’il en soit !!!
Bouillonnant d’espoir a l’imagination folle, je choisis d’être clair pour moi et pour Fati en lui envoyant ceci :
-“J’ai eu une fulgurance…
De là, j’ai besoin de te demander quelque chose par respect pour toi. Le hasard est si grand entre nous et j’ai tellement d’amour pour l’art du divin que j’ose.
Je vais pour cela devoir te partager un souvenir précieux et j’espère que si ta réponse est négative, tu ne me jugeras pas tordu ou déplacé.
En 2016 j’ai rêvé d’une enfant que je situais comme ma fille. Elle était petite, brune aux yeux noisettes, à la peau mate et se nommait Eva.
En mars avril 2017 alors que je buvais un café au bistrot de Lisa dans ma ville, un jour de pluie, j’ai d’abord senti mon corps vibrer intensément puis j’ai levé les yeux et mon Âme a implosé en même temps que l’Âme d’une jeune femme de la jeune vingtaine, brune aux yeux noisettes habillée d’une veste en simili cuir noir et de baskets blanche. Elle était trempée et était la même que l’enfant Eva du rêve. Nous sommes restés plongés hors du temps puis elle s’est mordue la lèvre et est partie en courant…
Le temps que je retrouve ma pensée, elle n’était plus là… Elle fût la plus belle vision de l’amour de ma vie… Et je ne cesse d’apprendre à faire le deuil.
La question devient donc : est-ce que ta fille Eva, t’as déjà raconté une histoire de cet ordre. Sinon est-ce que tu accepterais pour qu’il n’y est aucune ambiguïté de me montrer sa photo, soit par texto soit lorsque l’on se rencontrera ?
Je ne suis pas un pervers juste en deuil du grand amour vécu sans être vécu…”
J’ai été cash et respectueux, je lui ai partagé mon histoire et sa réponse fut simple, ma fille s’appelle Emma et non pas Eva… Plouf… puis elle m’a aussi dit :
- Don’t panic.
- On se parle encore ?
- À ton avis ?
- Merci pour le don’t panic. J’aimerai bien.
- Parfait.
- C’est dur le deuil… Mais je te dis ça sans drame.
- Si c’est pas dur un deuil… Enfin je pense…
- Bien vu. Merci.
- Il existe des exceptions, les champions de la résilience.
La blague c’est que j’ai complètement squeezé l’activité ménage avec la conversation et les moulins du cœur… Ça sera pour demain mais je sens qu’il faudra négocier.