
La suite pour un Lundi, jour de reprise suite à un bon sommeil et un réveil aux environs de 04h30. À présent il est 05h51, j’ai les bases de la journée à poser tel un rappel :
- Journal
- Boulot
- Dents
- Entretien
- Boulot
- Cuisine
- Dents
- Méditation
8 actions au final. Avec l’entretien et la méditation à placer de manière aléatoire. Ça n’est donc pas 6. Soit.
Ce matin j’ai pensé à Nalla… Je ne sais si en tant que Contrepartie Divine fortement probable, j’ai à continuer de la vouloir et d’y croire. Je ne sais également s’il existe “mieux”, comme l’amélioration de la lettre à “Cupidon” le propose. Les deux signes indicatifs sont que personne de mieux n’est apparu et quand vu du nouveau programme (où tout va vite dans mon sens) c’est indicatif de quelque chose. Le second est que Nalla à une mission professionnelle très importante dans les jours qui viennent. Pour le premier signe seul le temps et le détachement total à mes sentiments pour Nalla portent leur réponse. Pour le second, il convient de lui laisser le temps et de voir par quelle sensibilité elle revient alors vers moi, si tant est qu’elle revienne…
La conclusion peut alors être que cette semaine il peut être logique de ne pas voir venir une nouvelle venue car je n’ai de verdict fixe concernant mon lien à Nalla. Aussi, Nalla avait libéré le charme de l’envie de nous aimer mais sans emmener cela dans une idée de lointain et de grand futur, même si nos rêves pour le futur se rejoignent, elle voulait juste vivre le temps de quelques moments l’extase de ce que l’on ressentait. Ceci est bien sûr ok. Sauf qu’avec la zone d’ombre comme point de rupture, elle a touché une limite. La limite d’une peur à s’engager avec un homme dont elle connaît les désobligeances et les “excroissances” contre-natures qui pour elle exigent un accompagnement par un professionnel de la psychologie. Je l’ai plus que bien compris, entendu et respecté, ceci m’a d’ailleurs permis d’aller au bout de l’examen psychologique de l’enfant de 12 ans que j’ai été. Sauf que jusqu’à Vendredi 28 Juin, je suis seul avec un bilan que je me dis pro’ alors que je ne sais rien de la connaissance d’un expert. J’y avais certes déjà réfléchi mais je n’ai jamais lu de bouquin précis sur le sujet. (Ça je me rappelle l’avoir déjà dit 🤣. Le journal se veut live et comme si je m’adressais à quelqu’un 😉).
Je sais une chose paradoxale à ce stade. Il n’existe qu’une femme d’exception et d’excellence à qui “on” peut oser révéler les parts d’ombres de son propre chemin et en même temps c’est exactement ce qu’il faut faire pour imposer une limite et la perdre… Aussi vaut-il mieux oser faire un choix de transparence et de confiance dans un couple avec lequel on (je) rêve Tout, ou taire “l’indicible” et ne montrer que le brillant de son parcours comme si je n’avais eu aucune culpabilité à double sens dans mes mains ?
J’ai longtemps fait un chemin de repenti conscient, que pour l’époque la part physique de mon action n’aurait émis aucun doute sur ma culpabilité, ce que j’ai appris à assumer mais à présent j’ose aussi m’autoriser ma vérité. Celle où j’ai de par la mémoire de ma vue d’enfant était possédé.
Nota bene : il m’est important à ce stade de préciser que je n’ai violé personne, cela me gêne de révéler “publiquement” mon expérience mais l’ouvrage “l’obligeant”, j’ai commis une agression sans coups et blessures avec un caractère sexuel non impactant directement et non actif.
J’accepte que cette vérité puisse être difficilement accréditable, j’espère juste que Vendredi, l’infirmier qui me recevra me l’autorisera comme étant simplement un droit d’avoir une autre vérité que celle admis par la norme.
Ce à quoi en plus je peux entendre la vérité de la norme dans son idée de refoulement d’une blessure et de création de personnages internes à l’opposé de ce que l’on connaît de soi-même surtout à 12 ans. Sauf qu’entre mon expérience d’enfant est celle de l’adulte avec une multitude “d’esprits” en perception concrète assimilés à une cosmogonie intelligente, pertinente et responsabilisatrice ceci conduit par un ésotérisme, ne devrait selon moi pas être mis au rang de futilité et de l’impossible ou improbable. (Je projette de développer un ouvrage de cette cosmogonie des malah’ak à moins que l’ouvrage “de disgrâces en connaissances” puisse le permettre). Nous sommes apte de nos jours à accepter d’ouvrir le champ des possibles à mesure où la découverte de Thomas Hertog, collaborateur de Stephen Hawkings durant 20 ans, où il valide le fait que l’Univers n’est pas dû au hasard, inspire autrement les croyances et les horizons culturels.
Prenons aussi l’appui sur la culture brésilienne où le décès du médium spirit Chico Xavier est devenu jour férié en 2010. Où il a été reconnu de son vivant que les morts peuvent influencer un procès. Où il a été prouvé par un journaliste qu’il ne pouvait y avoir “d’entourloupe” aux travaux, aux œuvres, aux dons partagés par Chico Xavier. Ceci peut aussi être soutenu pour un pays tel que la France où la croyance à été écarté du domaine public mais qui reste toutefois précurseur de part les travaux d’Allan Kardec, du spiritisme dans le monde. Ceci est aussi notre héritage culturel et tout amoureux et amoureuses de Victor Hugo ne peut renier cet héritage.
Je ne dis pas ceci comme une défense car comme dit j’assume la part physique, je dis ceci comme droit libre d’une vérité pour un enfant trop immature pour se positionner dans un monde où un autre et dont les vengeances qu’il subit à la suite n’ont fait que pleurer 22 ans le manque d’une justice des “hommes” officielle… À la limite ceci pourrait relever d’une plaidoirie pour la justice et mettre en garde contre le danger de la vengeance, où de toutes conceptualisations culturelles et individuelles, on ne peut jamais connaître avec certitude les “souliers” de notre semblable.
« Seigneur, quels miracles m’offres-tu aujourd’hui ? »
« Seigneur, par quoi vais-je être surpris, étonné, réjouis, émue, émerveillé ce jour ? »
« Seigneur, qui sera présent ce jour ? »
« Par Tout mon Amour Seigneur, Merci ! »
À la question qui sera présent dans ma vie ce jour, la réponse est ? Le petit ange Angie ! Et pas n’importe comment. Riche de partages, de cœur et d’idées ! La principale est de m’avoir permis de conscientiser que diffuser le journal m’anime. Qu’en tant qu’artiste, il m’est vital de partager et bien que je sois quasi tout seul dans mon cheminement ça n’est pas pour autant que j’ai à me soumettre à la peur. Les chapitres précédents révèlent pleinement à quel point j’ai pu être meurtri par un passé tout du moins complexe mais que d’une part j’assume, d’autres part, ma punition à été inapproprié et qu’enfin ma foi, ma vérité, ma liberté et mon amour ne portent aucun doute qui mérite de se soumettre à la peur.
Je me suis affranchi de tant de choses depuis ma jeunesse qu’il est temps et même plus que temps, d’oser… Ainsi depuis ce jour, j’ai relancé la diffusion publique. Puissiez-vous bien l’accueillir. La suite n’est pas prête à se tarir et mon gros doigt me dit que vous y serez pour quelque chose. Que cela soit constructif ou destructif, je vous en remercie par tout mon amour !!!
Sinon, le Ciel a été tout bleu tout blanc, un demi miracle ? Il hésite semble-t-il… Nous t’avons connu plus audacieux mon cher ! 😜🤣😜
Ouh purée j’suis content ! Je ne vais pas vomir comme dans la citée de la peur mais j’ai posté à 16h16 (quel esprit) et boudu, c’est limpide, cela m’anime de vie !!!