
L’alchimie et ses lettres… B
B. Le B qui nous vient du A et qui nous propose peut-être de choisir d’agir par B.A., soit bonne action ? Car qu’est-ce que ce B en alchimie, si ce n’est le passage du 1 à un 2… 2 qui peut être vu comme l’outil de polarité, source de toute multiplicité. Outil nécessaire à toute association ou accouplement. Outil capital de passage entre l’Univers de l’origine et l’Univers de l’expérience. Qui ne peut exister sans matière et donc, sans maison. Car le B, c’est aussi la lettre hébraïque Beth ב , soit la maison, où pour que l’expérience puisse voir le jour, la première demeure ne peut être qu’une planète, soit pour nous autre, la Terre.
Ce Beth tel notre sanctuaire est la première lettre à apparaître dans l’ancien testament, originellement la Torah. Première car rien ne peut exister sans elle, sans une maison, sans une Terre. De là, quel autre usage qu’un B venant d’un A, soit des bonnes actions, pour honorer et entretenir sa maison ? Et par quel autre socle fondateur pourrions-nous emprunter un passage ? Cela de part notre réalité de vivant conscient… C’est pourquoi ce passage nous mène à l’autre possible d’une B.A., devenir et être, béat ! Seuil de toute sanctification, passage propice de l’être sur Terre vers son origine Céleste…
B, donne aussi le deux fois B, soit le bébé, l’enfant , sans qui rien n’existerai. Le bébé tel la première création. Le bébé tel l’une des plus belles images de ce qu’est la béatitude…
Qui conduit alors vers le C…
Avec toute mon amitié… Julien C’
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