
L’alchimie et ses lettres…C
C. Le C peut-il être entendu comme, c’est ? Soit ce qui est, bien qu’appartenant à un monde relatif, contient un facteur d’absolu. Car ce qui est, est, et rien ne peut l’en défaire… Et par quoi ce qui est, est perçu et reconnu ? Si ce n’est par sa forme, dont le propre est d’avoir un corps. C’est pourquoi le C alchimique représente le corps. Mais voyons-nous cet égard au corps donné par un s à sa fin ? Peut-on y voir un pluriel au corps. Et si le corps et bien fait d’un pluriel, alors quand est-il du monde ?
Si le corps, tel le cœur n’était en fait pas singulier ? Où les corps comme le cœur n’auraient d’existence que de par le cœur et le corps d’une mère ? Une mère naît d’une Terre Mère, le B, elle-même naît d’une Mère Originel, le A. Nous offrant alors trois corps tout autant que trois cœur auquel nous serions unis…
Ce à quoi nous pouvons rajouter qu’à « c’est » se trouve un « sait ». Soit que le C alchimique, le corps est aussi celui qui sait. D’où le lien aux trois cœurs car des neurones se trouvent aussi bien dans le cerveau, que dans le ventre, que dans le cœur. D’ailleurs le cœur a été démontré scientifiquement comme prescient par une étude aux États-Unis. Ainsi, voulons-nous savoir ce qui est ?
Et pour savoir cela, nous devrons aller vers le D…
Avec toute mon amitié… Julien C’
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