
Cosmogonie des anges selon l’âme ô êtoiles
Je souhaite ici vous partager ma vision cosmogonique de ce que l’on nomme “romantiquement” les anges.
Pour cela je vais d’abord vous présenter la différence entre le terme moderne d’ange et le terme originel hébreu de malakh.
Un ange s’entend aussi un “en je”. Soit que tout être convenant d’un je en soi est potentiellement un ange. Nous aimons voir cela dans nos amours pour les enfants. Nous pouvons aussi voir cela lorsque Dieu dans la trilogie “conversation avec dieu” (Neale Donald Walsch) nous dit : je ne t’ai envoyé que des anges. Ce à quoi certains comportement humain discréditeraient totalement cette idée. Pourtant à ces comportement humains dit négatifs, j’aime y voir la possibilité que quelque soit le niveau de négatif, en racine, tout être humain à d’abord été un bébé innocent que le “monde” a façonné “malgré lui”. “Malgré lui” sous le champ d’ignorance naturel qui nous rend tributaire des échanges entre humains. Ce pourquoi je peux concevoir que bien qu’un être humain soit en racine un enje, son évolution peut l’amener à devenir un enje qui s’ignore voire qui s’est oublié. Cet oubli ou cette ignorance ouvre alors à l’autre niveau de lecture de l’angéologie avec la cosmogonie des malakh.
Qu’est-ce qu’un malakh ? Un messager originel. Les travaux de l’âme ô êtoiles propose qu’un messager soit conceptualisé comme une source de conscience créatrice. Ceci appuyé par la proposition musulmane où Allah est sans associé et sans engendrance, ce qui induit que sans associé un ange devient inutile et alors probablement fictif. Mais ceci invaliderait la proposition des textes religieux où les anges sont partie prenante. Ainsi j’aime voir à cette idée d’un Dieu sans associé ni engendrance le propre d’une réalité divine où tout ce qui est manifeste et existentiel est le propre de l’expression du Divin. Ce qui expliquerait l’existentialité de certains éléments sans que ceci ne soit des associés ou des génitures mais plutôt à l’image et à la ressemblance du Divin de par son expression totale au travers sa création. Nous pouvons comprendre alors pourquoi tout devient la volonté de Dieu religieusement et aussi ce que porte l’idée de l’être humain créé à l’image et à la ressemblance de Dieu, soit démontrant le témoignage de son âme, l’image, et exprimant celle-ci via son comportement, la ressemblance.
Les malakh apparaissent originellement à travers une transcription qabbalistique de la torah dit aussi ancien testament (qui a des textes en plus, tout comme la bible éthiopienne est celle qui possède le plus de textes rejeté par les canon juif et chrétien). La source factuelle de cette transcription qabbalistique est relative à l’origine divinatoire de l’écriture de la torah de par Moïse, qui après études de textes égyptien peut être associé à une initiation égyptienne dont les textes dit Kémèt peuvent démontrer l’idée d’une sélection arbitraire des enseignements spirituel égyptien. Toutefois entre initiation et œuvre hébraïque, l’aleph beth est pleinement reconnu comme une langue et une écriture ayant une portée multidimensionnelle de par différents symbolismes des lettres et des mots. Soit le propre dit oral de la langue hébraïque qui est alors nommé qabbal (récéption). Sur cette base qabbalistique de l’hébreu, la torah a pu être lu et retranscrite d’une manière ou le chapitre de l’exode fit apparaître 72 verbes de Dieu qui au fil du temps devinrent les anges de la qabbal et nous menèrent à notre époque, au dit mondes ou cultures angéliques. Toutefois autrefois le terme d’ange n’apparaissait pas, le terme malakh était alors utilisée et les 72 était considéré comme des verbes de Dieu et donc des messages, tout comme les 99 noms d’Allah ou encore les 108 mantra bouddhiste qui de fait sont également des messages du Divin.
Entre le 20ème et le début du 21ème siècle les travaux développé concernant les 72 anges ont pris un tel essor qu’il me semble utile d’y ajouter ma propre transcription par référence ésotérique dite acausale par la théorie de Jung/Pauli et que pourtant je peux me permettre d’en amener une cause référente, ésotérique et relative certes mais néanmoins conceptualisable et démontrable.
Cette cosmogonie des malakh dit aussi source de conscience divine rend alors notre incarnation propre à une co-création où chaque éléments de nos vies peuvent y être assumés et également discernés de par une lecture de carte astro-angélique.
Pourquoi cela ? Partant de l’idée que le Divin est à la source de tout ce qui est. Que pour que ce qui est soit, ce qui n’est pas a à être car sans ce qui n’est pas ce qui est n’est pas. Soit que la mécanique physique demande en amont de l’expérience le faux, soit la peur, pour d’abord conceptualiser puis trouver et valider le vrai, soit l’amour. Car avant l’humanité, tout ratio de l’univers n’était de par la vie sur terre ni faux ni vrai mais uniquement ce qui est. Ce fut le propre de l’humain de conceptualiser l’idée de réalité et d’irréalité. Soit de vrai et de faux. De là, pour l’humain, le divin lui-même entre dans ce concept de faux et de vrai tout comme le principe de créateur conscient et de création inconsciente sont une base référençable uniquement par l’humain.
Nous savons aujourd’hui scientifiquement que l’univers n’est pas dû au hasard (de par les travaux de l’astrophysicien Thomas Hertog) ce qui ouvre à la réponse par la négative sans pouvoir formaliser une réponse à la positive mais qui sous-tend naturellement le propre d’une conscience créatrice. Ce propre d’une conscience créatrice et d’un univers non dû au hasard ouvre à la rationalité que rien de notre univers ne soit défait d’une volonté dit aussi souhait ou choix conscientisé. Ainsi là où l’humain semble être à la recherche de l’origine de la conscience, celle-ci est peut-être en expression depuis toujours au travers toutes créations, car aucunes d’elles ne sont le fruit du hasard. Mais alors la question pourrait être : naissons-nous vraiment ignorant ? Ou est-ce que comme le démontrent certaines éducations, la révélation et le soutien conscient de ce que nous sommes vraiment, peut permettre à l’humain d’accéder à un savoir élémentaire sur sa nature ? Toute philosophie, poésie, mythes et religions tendent selon moi constamment à s’y raccorder.
A quoi bon alors la cosmogonie des malakh si cette nature originelle de la vie singulière est intrinsèquement l’expression de la conscience créatrice ?
Cette cosmogonie permet une explication du propre de la polarité négative et de la polarité positive de l’énergie et de la destinée, qui génère majoritairement la dualité.
Philosophiquement on nous propose au travers l’étude de Shopenhauer que l’humain passe constamment de la souffrance au plaisir et vice versa et que sa vie est une alternance entre les deux. Certes ceci semble constatable à moins que l’on ne change les axes de références par le bien-être et le mal-être, qui permettrait de distinguer la douleur de la souffrance et la paix du plaisir ou du bonheur. Ceci car la douleur est une sensation symptomatique transformable, transmutable ou non, alors que la souffrance n’est dû qu’au jugement et aux interprétation mentale portée sur la douleur. Tout comme la paix est un état naturel basique du corps et de l’esprit en soi à polarité neutre, là où le plaisir et le bonheur sont à polarité positive et sont tributaire des élément extérieurs à soi, qui eux sont interdépendants de nos choix mentaux vis-à-vis des éléments extérieurs.
Maintenant les malakh depuis “le début” sont associé à des qualités et des distorsions comme tout outils d’ésotérisme. Soit du positif et du négatif. Les ésotérismes semblent ne pas pouvoir démontrer une origine causale de leur principe. Sauf si l’on associe à leur lecture une réalisation concrète, qui rend alors opératif le principe d’écriture “céleste” car de une ou plusieurs réalisations constatées, entre en action le reste des données ésotériques. Dit autrement, tant que l’on n’a pu en faire une vérité expérimentée, les ésotérismes ne semblent pas directement liés à la destinée mais lorsque l’on y trouve une corrélation, ceux-ci deviennent source de factualité. Pour appuyer cette proposition, je vais m’appuyer sur mon propre témoignage.
“J’ai vécu jusqu’à mes 33 ans sans connaissance de ma carte astrologique et angélique. Lorsque j’en ai pris conscience, les informations praticables telles que les qualités de l’ange de mes sentiments Lela`el, d’avoir une lumière d’amour qui guérit tout a pu être activées. C’est par la reconnaissance de cette qualité au travers de mes sentiments que j’ai développé la “méthode de guérison spontanée de l’âme ô êtoiles”. Celles-ci s’étant réalisées, je n’ai pu nier l’efficacité de la congruence entre information et réalisation. De là tout autre élément astro-angéliques référençant des éléments passées expérimentés portaient alors une congruence et surtout, ouvrait à ce lien scientifique où tout élément terrestre est d’abord naît des étoiles.”
La part physique des étoiles étant originellement créatrice de matière, il me semble logique que la part subtile de la lumière des étoiles puisse également être créatrice du moment que l’on a considéré le possible de la lumière d’être consciente, comme proposé par les travaux de Thomas Young. Ainsi le lien que je fais entre les étoiles, les malakh et la Conscience créatrice, se trouve en la Lumière. Religieusement on nous propose que Dieu séparait la Lumière des ténèbres, soit la Conscience de la matière, d’où la neutralité du corps sous une douleur et le propre humain de jugement et d’interprétation de par conscientisation. Et donc que toute source de Lumière à l’image de la Conscience créatrice est autant consciente que créatrice et c’est pourquoi j’ai fait le choix de nommer les malakh “source de conscience divine”. Néanmoins je ne dois la plus value de leur création qu’à la fluidité de ma destinée de m’avoir amené à recevoir l’information des qualités et des distorsions transmises par Kaya Univers cite Mikaël. Ceci est donc un appuie purement relatif à ma propre destinée. Il s’agit alors d’y voir un appui personnel que j’ai rendu volontairement co-créatif et alors existentiel dans un ordre de plan céleste relatif à ce que j’ai pu en constater, en interpréter, en comprendre, en réaliser.
En somme cette cosmogonie ne fait pas office d’une généralisation des origines car il me semble tout à fait rationnel d’accepter que toute cosmogonie s’appui sur la culture reçu directement ou indirectement et que toute dimension de connaissance de l’univers ou d’une origine créatrice dépend de sa propre connaissance de l’univers et des origines et n’induit nullement une formalisation globale et générale à un universalisme à la fois absolu et à la fois relatif à toute vie singulière.
La cosmogonie des malakh plus en détail ouvre au principe d’écriture d’une vie dans les moindre détails puis à une conceptualisation tel une répétition avec possibilité d’y voir les phases très négative donc mal jouées et très positive donc trop bien joué, pour alors nous permettre en expérience de choisir le meilleur jeu possible comme pour toute représentation théâtrale ou cinématographique. Ceci fait d’une carte ésotérique contenant les informations clé de la destinée et donc à présent, les informations clé de nos leviers de conscience potentiels par les sources de conscience créatrices interne car messagères et en je. Soit que comme la matière et tout adn vient des étoiles, ce qui façonnent notre Je, nos croyances et nos expériences de par nos gènes, comme le démontre l’épigénétique, vient également des étoiles et sont donc référençable sur une carte astro-angélique, pour laquelle la mesure horaire et astronomique est dû à un choix conscient de co-création céleste avec ou en tant que source de conscience divine qui ne créait rien au hasard. Et qui de par le nombre 72 a un lien avec le décalage de 1° des constellations tous les 72 ans.
Une carte astro-angélique ouvre une lecture de 22 positionnements et leviers de destinée potentiels des malahk dit Enje. En Je non pas de manière personnifié mais plutôt de manière influant la génétique et donc les potentiels d’incarnation.
Ces Enjes sont tous fait de qualités et de distorsions permettant une lecture ésotérique nuancée entre positif et négatif. Soit entre qualités à développer, révéler, pratiquer et distorsions à transmuter ou dissoudre ou pratiquer, qui explique notre part responsable et choisit quant à notre expérience humaine, notre destinée.
De là nous pouvons extrapoler que selon le propre et la position des anges il se trouve des liens corrélaires entre humains vis-à-vis de leur choix de vie que l’on soit victime, bourreau, sauveur, ou libéré.
Les malakh sont ici les sources de conscience originelles et se structurent d’une façon ou la vie serait un système d’évolution en matriochka (poupées russes). Soit que l’ordre référent serait l’origine par la Source, le divin, (absolue absolue). Les malakh, les sources créatrices d’âmes affiliées. Différents niveaux d’expériences et de représentations des propres de l’ordre du malakh originel, tels que ministres célestes, ambassadeurs célestes, guides célestes et l’évolution vers l’ordre de notre malakh originel, notre ange physique ou dit Gardien (absolue relatif).
Par exemple, j’appartiens dans mon ordre d’évolution divine, à la sphère du malakh Lekab`yah (éteindre, puissante inspiration etc… ). Soit que les êtres qui m’entourent dans la Grande Réalité se référent de l’ordre de Lekab`yah. Toutefois avec le propre du thème astro-angélique de l’âme étoiles, les esprits représentants les malakh originels peuvent être apparentés aux 21 autres malakh du thème.
Cette cosmogonie permet deux choses aux êtres humains. D’être conscient de ses potentiels de destinée et par ce biais de pouvoir trouver la paix vis-à-vis des dualités de son expérience de vie, les ouvrant au principe de polarité ou l’on conçoit et accepte qu’un mal sert un bien, en lui permettant d’éclairer et qu’un bien se sert d’un mal en l’éclairant par la croissance après un temps de justice.
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Avec toute mon amitié… Julien C’