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À l’image de cette vision d’une main tendue vers le bas et d’un joli garçon blond dans un hammam qui rit de ce principe, celui d’avoir à couler à pic pour ensuite rallumer sa Lumière et bien, j’ai coulé…
D’abord émotionnellement en devant accepter une fin à mon amour et mes rêves avec Nalla, accepter les douleurs émotionnelles comme naturelles et non maladives donc non guérissables mais seulement libre d’être vécues jusqu’à plus ou dit autrement, jusqu’à ce que après la pluie vienne le beau temps. Accepter aussi que j’ai une responsabilité envers moi-même, envers mon divin créateur, envers mon prochain et envers mon corps. Cela je l’ai compris en devant aussi couler physiquement en glissant sur une marche d’escalier mouillé et en tombant de tout mon poids et de toute ma taille sur le tranchant de la marche sur le haut du dos. À m’en couper le souffle et à en avoir une plus forte douleur qu’une clavicule ou une côte pétée. Hôpital avec un mauvais traitement médical de plus car on m’a demandé de croire sur parole que je n’avais rien de cassé, sans étude des radios à ma vue et sans compte rendu de la lecture des radios.
La douleur est dure mais elle enseigne. En métaphysique elle enseigne sur les croyances erronée qui concerne la culpabilité et la punition en lien à ma protection, ma défense et à mon besoin de prendre soin du bonheur des gens que j’aime, alors qu’il ne s’agit pas d’un besoin tel un devoir dans un sens ou dans l’autre mais en réalité d’une reconnaissance que prendre soin de son bonheur et de celui des siens est une chance, un cadeau occasionnel…
De là, me voilà dans une nouvelle nuit blanche où je décide de me permettre un affront culturel et religieux en acceptant de pouvoir faire Dieu à mon image tout comme il me fait à l’une des siennes. Ainsi à mon image, cela impose qu’il n’y a plus aucun levier légitime à être condamné pour un doute mensonger. Aussi que tout le travail déchirant de l’examen psychologique a à recevoir un retour professionnel et a à être mis à la reconnaissance d’un passé qui n’a plus à conditionner le présent et encore moins ma vision, mon amour, mon expérience du Divin. Plus de démonstration de sa toute puissance dans une vie est presque de l’ordre de l’impossible, si ce n’est les œuvres concrètes de Buddha et Yeshua.
Ceci étant dit je continue de saisir le journal sur ordi sans savoir vraiment s’il sera publiable un jour futur. Toujours est-il que l’évolution n’est pas finie mais que la considération de ma chance devient de plus en plus puissante et constructive. Car cela m’a permis d’améliorer ma lettre à “Cupidon”, d’élever ma foi en la relativité et en la non limitation divine, de me rappeler et de valoriser la puissance du mantra des trois questions et d’être à l’affût de leurs réponses. Aussi bien cette nuit que demain jusqu’à maximum après demain (qui est peut-être “modeste” et exagéré) car si le dicton dit “impossible n’est pas Français”, quand est-il pour Dieu ?
Ainsi voilà que comme en accoutumé depuis presque 2 mois je viens de remarier deuil, douleurs et foi !
Le sommeil porte conseil par son silence et la nuit porte sa richesse par son inspiration, d’où le papillon attiré par la lumière, symboliquement image de l’âme transmutatrice, car nature de la Conscience Divine et Créatrice dont les mots ne sont qu’un témoignage.
C’est balèze. J’ai conclu l’examen psychologique par “à vous les studios”, je conclu la partie nuit de ce chapitre par “vivement la suite !!!”.
À ces gens d’autorité et d’affiliation athéiste qui aiment dire qu’il n’est pas judicieux de croire au prince et à la princesse charmant.e, donc à un idéal car celui-ci induit que tout ce qui n’y répond pas serait sujet à reproche, j’ai envie de dire que vous écartez la notion de vouloir prendre soin de son idéal en faisant preuve d’intelligence. Vous écartez aussi le principe naturel de la relation amoureuse qui est de voir en l’autre une part de l’idéal que l’on porte en soi, sinon comment pourrions nous dire waw et se laisser entrer en amour ? Devrions-nous alors se mettre en couple uniquement pour un choix de raison ? À ce moment là autant plaider pour le mariage des sex friends car la vie n’y propose aucune surprise et protège alors de sa nature intrinsèque d’être sans garantie. Ce qui appui le postulat de ne surtout pas minimiser ses idéaux étant donné que le mot lui-même porte son lien par idée-haut ou idée-al de Allah ou Dieu.
Maintenant en tant que créateur de sa vie, voulons-nous nous aider d’un co-créateur ou non ? Si oui, avoir accès à la capacité de bonification d’un idéal est plus que judicieux. Au mieux on touche de prêt la perfection, de prêt car il n’est nullement nécessaire de répondre d’un absolu. Et au pire on aura fait croître sa sagesse en ayant osé aimer de tout son être qui a appris à vivre dignement et gracieusement la douleur émotionnelle, car sans violence et sans fatalisme mais surtout sans déni et reniement de ce qui compte vraiment en soi. Comme le propose la CNV, la vie est là pour être avec la vie, la tête motrice renvoie au résultat qui lui est secondaire à la vie donc à la relation humaine donc au besoin fondamentaux tel une nappe phréatique. Ce qui révèle alors d’être lucide quant à ses vrais besoins et son discernement quant à son idéal personnel hors de l’influence des croyances limitantes d’autrui.
Libre à Soi ! Je préfère souffrir d’avoir aimé et rêver que de croire que je ne souffrirai pas quand même sans l’avoir osé et vécu. Mon idéal, qui d’ailleurs m’a permis de transcender la douleur dit aussi maladie physique, est de ne pas avoir peur de la douleur quand bien même en extrême j’ai pu m’autoriser la faiblesse de souhaiter ma mort. Ce n’était que passager, instructif, nourricier et conscientisé et non pas définitif. J’ai la chance d’avoir reçu un jour la graine du life time et du level de jeu vidéo auquel je compte bien aller au bout. La relativité et la patience ne sont que parfaitement bien mariées avec ses principes clés.