
L’alchimie et ses lettres… G
G. Chercher à l’intérieur de… Cela c’est bien par opération alchimique, le faire/feu, que nous allons chercher à l’intérieur de la forme. Peut-on s’entendre que ce que l’on cherche, c’est de fusionner deux formes opposées, peut-être le relatif et l’absolu, le factuel et le conceptuel, l’objectif et le subjectif, le physique et le magique, en une seule ?
Si oui, le Guimel hébraïque ג , contenant le gamal, qui à la fois rend quelque chose en bien ou en mal et à la fois sèvre, fait mûrir. Tel le 3 qui légifère entre la thèse, l’antithèse et la synthèse (la Sainte thèse ?). Où pour chercher à l’intérieur de la vie, il nous faudra mélanger le corps (la terre) l’âme (l’air) et l’esprit (l’eau) avant d’être mort (feu)…
Ce G ouvre au “j’ai” soit à ce que l’on possède. Qu’est-ce que nos “Je Suis” possèdent en commun ? Quelque part, la seule chose que notre “Je suis” possède véritablement, c’est son corps, ni plus ni moins. Mais alors qu’est-ce qui pousse le “Je Suis” à désirer avoir plus que son corps ? Serait-ce la quête d’un sentiment ? A l’image de nos enfants, qui par fait semble désirer essentiellement ce qui leur permet d’être heureux ! Donc notre désir fondateur, est celui du bonheur.
Cela jusqu’à trouver le H…
Avec toute mon amitié… Julien C’
Merci pour votre commentaire !
Laisser un commentaire