
L’alchimie et ses lettres… J
J. j c’est l’unité fixe. Qu’est-ce cela sous-entend ? Que l’unité telle l’état du 1, devenu 10, est comme enseigné dans la Torah, soit partout sans bouger. Et que dès lors que la vie rencontre cette unité, il s’en découle une unité à fixer ? Mais alors à quoi cette unité peut-elle être fixée ?
A l’image du i surmonté d’un point, l’axe, par le j, choisi de dessiner une courbe vers le bas. La courbe en alchimie c’est l’amour. Et comme on peut le voir par la lettre j, cette courbe embrasse la Terre, le bas, tout en remontant vers les cieux, le haut, et cela n’est autre qu’une nature, telle une vocation ou un ordre naturel, quelque chose de fixe, comme indubitable, d’une vie ayant reconnue, l’unité…
Ce J venant du I, soit de l’axe, de la règle donnant le A neutre (i) et se transformant de A à J, agis. Ainsi l’unité de par l’action embrasse le monde et la vie, fixant une réalité où l’illusion se trouve en son point zéro, au-delà même de ce que l’on peut concevoir de l’unité de la vie et par delà même du Divin…
Le voyage se poursuit avec le K…
Avec toute mon amitié… Julien C’
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