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Pour répondre à l’intitulé il s’agit dès maintenant, 00h06, de poser les fameuses questions.
« Seigneur, quels miracles m’offres-tu aujourd’hui ? »
« Seigneur, par quoi vais-je être surpris, étonné, réjouis, émue, émerveillé ce jour ? »
« Seigneur, qui sera présent ce jour ? »
« Par Tout mon Amour Seigneur, Merci ! «
Déjà en présence il y a des bébêtes lol, et des mala’ak comme en chaque instant à mesure de pensées précises mais non qualifiables. Un peu comme un appel qui passe par des mots inconscients. La nuit est douce. L’inspiration est faible jusque là.
Avant de reprendre la plume je repensais à Nalla…
Je me disais que mes sentiments et mes rêves étaient bons et beaux. Je ne sais si j’aimerai qu’ils se réveillent à nouveau tout comme je ne sais si elle reviendra me faire coucou comme si je ne sais quoi de son chemin la ramènerait vers moi…
Je ne discerne même plus si mes douleurs à la poitrine sont dues aux peines sentimentales ou à la chute d’il y a exactement 21 jours. M’enfin… Si encore je ne songeais qu’à Nalla mais mes pensées et mes sentiments voyagent souvent vers les vieux et vielles ami.es et les parti.es, comme Sania, Robin et au combien Tempo…
Pas évident de passer ses jours et ses nuits en ne communiquant qu’extrêmement peu. Certes aujourd’hui j’ai posé des actes mais bien que l’humain puisse s’offrir beaucoup par lui-même, rien ne remplace un rapport humain. Mais l’idée de ne pas fuir n’est pas non plus de virer bourdon ! Le jour comme la nuit sont à moi. À moi d’en jouir comme bon me semble ! Déjà ces mots ensuite qui sait ?
Ce jour, ce matin, je poste un chapitre important du journal. Celui de la rupture avec Sania et Robin et celui où immédiatement apparaît le mantra racine d’équilibre et de direction de conscience. Je vais me le rappel.
“Si je veux être réveillé, je me respecte, je change ce que je peux, j’agis, je suis en paix avec ce que je suis, ce que j’ai, ce que je fais, je suis fort, je n’ais pas peur de ne pas aimer agir, je n’ais pas peur de l’incertitude, je n’ais pas peur de la douleur, je n’ais pas peur d’être fort, je n’ais pas peur d’un résultat inconnu, je n’ais pas peur d’être réveillé d’une manière où la vie devient précieuse et emplit de “Lumière” !!!”
Ça ne fait que même pas 2 mois et j’ai l’impression que c’est déjà loin. D’où la publication, ces deux derniers mois ont été blindés. J’ai pris mes dernières doses d’auto-thérapie dans ma vie de moine version tout d’un coup, pim ! Bonjour les étoiles, coucou ! Y a quelqu’un ? Défois oui défois non. Tu veux ou tu veux pas ? Ça dépend des moments, en ce moment c’est vrai je dépend… (ça dépend ; Claire Keim). Bref, bien encore inclut le mode caballero solo en manque de dopamine qui a certes la plume pour alliage mais non plus de quoi être chargé pour avoir du cœur à l’ouvrage. Sauf la nuit avec le journal, je me parle comme je parle, aucune réponse compromettantes c’est sûr. Toujours l’œil en perspective vers autrement, autre chose, autre qui…
Allez, je m’arrête là. Je vais essayer de me faire pousser la poésie, peut-être même du boulot et qui sait, ô grande folie, peut-être même un dodo ! Étant donné qu’il n’est que 00h39 je vais aussi librement que je suis, me remettre un cawa dans le gosier !
01h33, je m’en suis fait un de poème ! Ça fait du bien ! Production de la nuit accomplie. Reste de la saisie ? Why not ? Je ne me sens pas de créer une autre poésie. C’est fou, c’est doux, d’oser poster, mais c’est l’époque qui le permet, ainsi en est-il ! (Fin de saisie 02h11😉)