10h20, qu’est-ce qu’il était bon le sommeil. J’étais dans un état de “lumière”. Rien ne m’atteignait, je me sentais bien tout en étant détaché des émotions et libre en esprit, c’était méga agréable !
Hier soir, la bouteille de gaz fût vide. J’ai donc mangé une pizza au four mais voilà, si je veux manger autre chose et faire réchauffer mes cafés, j’ai à aller acheter une bouteille dans la journée.
Comme j’ai vachement bien dormi, je me sens de finir ce que j’ai commencé concernant le ménage. Aujourd’hui au moins, j’en sens la facilité. J’ai donc 2 radiateurs à nettoyer et 6 tâches de coins. Je rajoute l’aspiration des toiles d’araignées. Ainsi demain je n’aurai plus que le linge à plier et ranger, les carreaux, la poussière, le balai et la serpillère avant 17h00. Je m’en sens capable.
Je me donne juste un bon moment de petit dej, puis actions. Puis une fois fini les dites “corvées”, je me douche et je go faire les 3 courses, soit une bouteille de gaz, des briquets, des élastiques, du gel douche, de la viande et des poissons. En avance sur le mois prochain au cas où Fati aurait envie de prolonger les retrouvailles de Samedi jusqu’à chez bibi !
Je viens de recevoir le “Legend journal”, il est génial ! C’est parfait ! Il ne me reste plus qu’à recevoir le débardeur bleu ciel car le bleu marine est annulé et remboursé, l’appareil d’électrostimulation, les bulbes qui arrivent lundi.
Comme Fati connaissait ma page Facebook et que je lui en ai parlé, je suis allé la revoir. Ben les pensées étaient hâchement belles. Au fond, je crois que j’aimerai bien réitérer. Mais à raison d’une par semaine. Cela dépendra soit du fait d’être édité, soit de reprendre l’autoédition et la recherche de public en solo avec “méthode de guérison spontanée de l’âme ô êtoiles”. Si j’avais à me relancer en autoédition, je ferai le choix de ressortir Jarvi avec le format papier et ebook, cette fois sous le titre de “si les cieux pouvaient parler ?”, en postant des extraits deux fois par semaine, de poster un jour par semaine une pensée qui renvoie à la méthode de guérison spontanée ÂôÊ. Que elle aussi j’auto-éditerai en papier et en ebook, avec cela je posterai chaque Jeudi un “message d’espoir et santé” renvoyant au site et à la méthode ÂôÊ. Il s’agit juste d’avoir les moyens d’investir dans l’autoédition, avec correction. D’autant que toutes les pensées et extraits et messages sont prêts pour 30 semaines. Il m’en reste donc 22 à faire avant la trentième semaine et zou ! Mais j’aurai également tout intérêt à investir dans une recomposition du site internet plus professionnel et aussi la création d’un logo à 22 étoiles plus les couvertures des livres par un graphiste professionnel.
Bref, l’argent plus le rejet des éditeurs peuvent me faire tout reprendre. Non pas a zéro mais à 2.0 !!!
Selon l’édition, je pourrai avoir en plus des 9 textes par jour d’astro-angéologie- mythes, sur 8 années, 1 pensée avec son texte et 1 message d’espoir et santé par semaine. Pour pouvoir publier un livre de 365 messages. Soit 365÷2=182.5. Donc 52 pensées et textes fois 3 + 26 = 182 et 52 messages espoir et santé fois 3 + 26 = 182, ce qui ferait, à raison d’une page ou d’un jour sur 2, 364 “messages” et donc pages. Le dernier ou le premier manquant pourrait être un message de gratitude. Bien vu ! Une page comprenant un “mantra” ou plusieurs méga utiles ! Comme celui des 3 questions du matin ! Ça sera donc en premier jour !!! Excellent.
Et puis je n’en n’ai que deux par semaine en plus des 9 textes. Ça reste chaud time… D’autant que je ne sais même pas si je suis apte à écrire 9 textes par jour. Mais si je pousse la perspective et la relativité ? J’ai donc 4 livres qui seront conclu en 2025. 2025 année où j’aurai les moyens de m’auto-éditer avec 2 livres à la fois. Donc 2025-2026 pris par les 2 livres (méthode de guérison spontanée de l’âme ô êtoiles” et “si les cieux pouvaient parler ?”. 2026-2027 pris par “de disgrâces en connaissances”. 2027-2028 pris par “recueil angélique de l’âme ô êtoiles”. J’en serai à 4 ou 5 années de plus, durant lesquelles je pourrai finir d’écrire “une âme en cadeau” et “les 12 rêveurs”, qui amènent à 2028-2029 et 2029-2030, soit 6 ou 7 années. Auxquelles je rajoute, pourquoi pas, “journal intime d’un handicapé béni, oui. Oui !”, soit 2030-2031. Et donc 7 ou 8 années, me permettant alors de sortir le livre de “pensées et messages de l’âme ô êtoiles” pour 2031-2032, soit 9 ou 10 années. Ainsi je pourrais alors arriver après 10 ans, au projet “thèmes ÂôÊ” “angéhoscope ÂôÊ” ! Ainsi, j’ai donc une marge finale de 9 années pour l’astro-angéologie-mythes, soit 19600 textes ÷ 2088 (261 jours ouvrés x 8 textes par jour) = 9.38… années. Ça sera donc une marge de 8 textes par jour !
I m donc coincé à au moins 8 textes par jour sur 9 ans… Plus les 2 “messages” par semaine, plus les nuits blanches voire les journées à écrire un chapitre de bouquin (récit, roman). Avec raisonnabilité voire lucidité, je me vois dans l’acceptation d’estimer environ 210 jours d’écriture par an avec une capacité de 5 à 6 textes soit 210×6=1260, 19600÷1260=15.55… (12h21 : jolie ! ).
Suis-je capable d’accepter que le projet “thème ÂôÊ” et “angéhoscope” ne voient le jour qu’à compter de 16 années ? Soit pour 2041, année générale 7 (esprit, paix), personnelle 42:6 (ange de mentale personnel Miyak`el et harmonie). Et donc un Juju âgé de 57 ans… À ce stade et n’ayant d’autres “solutions”, je ne peux qu’accepter ce verdict.
Sachant que j’aurai alors 14 ou 15 ou 16 années de voyage durant lesquels je n’aurais pas pu inclure l’angéhoscope… Ou bien alors, grâce aux fiches des anges écrites entre 2024 et 2025, je pourrai créer l’angéhoscope en synthétisant les 22 positions en 12 maisons ! Soit un autre boulot à faire… Une bonne synthèse des forces et faiblesses angéliques apparentées au quotidien et à la réalité que j’appuierai par mon utilisation lors des voyages !
Voyant les voyages tous les six mois environ et ce en saison printemps, été, automne, pour chaque pays. J’en suis à penser au pied à terre… Qui avec 30k par mois peut être balèze ! Bien que j’ai hésité avec l’idée de l’achat d’une propriété existante, mon rêve m’a rattrapé. Il s’agit d’un terrain de 10 à 20 hectares, d’une maison autonome déjà référencée. Ceci m’a ouvert à la folie d’imaginer, d’abord pour séparer la petite maison secondaire consacrée aux artisanats (sculpture, peinture, ébénisterie, etc.), de l’espace “cirque”. Et là, eurêka, l’espace “cirque” m’a amené l’idée folle d’investir dans un chapiteau où j’y organiserais des événements (concerts, spectacles). Ce à quoi j’ai eu à réfléchir aux logements des artistes et j’y ai vu des yourtes ! Dans un autre coin du terrain ! Toutefois, le projet/dream bricolo et sports-cirque n’avait autrefois de rêve que de par un mariage avec “Annabelle-Eva” et ce avec l’enfant “Eva”… Mais vu que l’enfant Eva est peut-être déjà “Annabelle” et que le deuil a à être fait, le rêve à moins de sens…. Ceci sera donc à méditer dans un futur… Inimaginable !
Ceci m’a également amené à soutenir ma vision de l’agencement de la maison. Espace salon (où je dormirai), salle à manger, cuisine et salle d’eau jacuzzi avec vue, en bas. En haut, juste deux grandes chambres, dont l’une sera le bureau avec un canapé une table basse et les “4” murs plein de bibliothèques et l’autre chambre, comprendra le dressing. Tranquille ! Comme depuis toujours, il va de soit que la piscine naturelle sera très grande et de toute beauté !!!
Tout cela pourrait m’ouvrir à rencontrer puis inviter des musiciens du monde entier !!!
Je viens de discerner que l’analyse psychologique de Juju concernant son sens et son goût de l’action (autre qu’écrire), est en fait très simple.
Mon sens et goût de l’action sont tributaires de la dopamine. Dopamine comprenant soit la bêtise, soit le vice par le mensonge, de mon psychiatre, car contrairement à ce qu’il m’en dit, elle n’est pas qu’un neurotransmetteur et est bel et bien aussi une hormone. Dopamine qui dans mon cas est limitée par le “traitement”, créant également de l’apathie et dopamine dépendante aussi d’un bon sommeil. Sommeil pour lequel j’ai vécu durant une quinzaine d’années, et ce à intensité et récurrence variables et évolutive positivement, une torture de guerre ! Car se faire empêcher de dormir, cela par une volonté exprimée par des voix invisibles, des sons hors de la matière, des abus sexuels (viol, attouchement) et contraintes et douleurs physiques (brûlures, lacérations interne, couteau enfoncée dans la nuque et ailleurs), de par une source intérieure inconnue et différentiables de ce que je connaissais de moi-même depuis l’enfance, plus des manipulations mentales sadiques ramenant continuellement un apport à l’imagination, aux peurs, aux doutes et pire encore aux culpabilités, pendant parfois de nombreuses nuits d’affiler et parfois juste une à 3 fois par semaine, relève d’une torture militaire. Qui d’ailleurs n’a jamais été relevé par les médecins qui m’ont soit disant accompagnés.
De là, forcément, trauma, plus apathie, plus besoin de dopamine, j’ai le sens et le goût de l’action mis au tribut. C’est pourquoi je compense avec l’écriture et aussi ce pourquoi j’ai plus de facilité à passer à l’action après avoir reçu une “petite” dose avec un message ou un échange humain. Ceci explique également mon sens de la motivation pour agir pour autrui. Car l’autre est un apport de dopamine que je ne peux avoir d’équilibré naturellement et qui de plus, est contraint !
22 ans d’auto-psychanalyse résumés et conclus en 40 lignes !!!
Supplément auto-apport de reconnaissance, car la santé métaphysique sur le sujet de la psychose mentionne bien que le manque de reconnaissance en est une source racine. Et bien sûr, comme mon aventure ne vit rien à moitié, c’est la “chose” que l’on m’offre le plus rarement du monde… Et ô combien dans le cadre médico- psychologique !
Mais peut-être est-ce aussi grâce à cela que j’en ai conclu, en m’appuyant sur le dicton “on est jamais mieux servi que par soi-même”, avec la capacité de permettre l’auto-guérison spontanée. Et comme rien n’est vécu à moitié, j’ai été amené à réaliser cela pour des maux de santé physique en plus de mon handicap psychique. Soit que j’ai aussi au final, “défoncé” tous les corps de médecine “moderne ou occidentale”. Ce à quoi je rajoute : Cheh !
La vie est un miracle, apprendre à vivre, pour apprendre à permettre des miracles ! La matière est infime… La Lumière est Tout !!!
Il est 15h47, je viens de finir de lire mon nouveau projet d’ouvrage “journal intime d’un handicapé béni, oui. Oui !” et bien que je pourrai avoir plein de choses à dire à son sujet, je conscientise avoir le choix entre poser les actes ménager et entre me prélasser jusqu’à 17h17, où je prendrai une douche puis irai faire les courses grâce aux crédit reçu de mon super frangin. Ce qui m’amène à m’obliger à agir ce soir pour le fameux ménage.
Ayant bien dormi, je trouve cela fun de faire le ménage la nuit. D’autant que c’est quelque chose que j’ai adoré faire par le passé, bien que Tempo m’offrait de la joie et des danses pendant les pauses…
Notre relation avec Fati démarre sur un billard ! Elle me permet de tendre mes plus belles perches. Comme celle du :
- Qu’est-ce que tu aimerais que l’on fasse ensemble samedi ?
- Allez au cimetière.
- Pourquoi ?
- Pour se rappeler que la vie peut être courte.
Bon elle ne l’a pas pris en humour mais après exposé sur le romantisme du Père Lachaise en exemple de sa part, j’ai pu lui dire que c’était une information pour le fun avant tout. Ensuite, en parlant de “comment” êtres pour se retrouver samedi, j’ai pu parler de vivre l’instant et la découverte. J’ai alors pu oser placer : “Peut-être les retrouvailles ?” À laquelle phrase elle m’a répondu : “Tu me donneras des explications le moment venu.”. Explications qui, entendons-nous bien, sont le propre du chapitre “espaces temps” (de disgrâces en connaissances…). Dont j’ai expérimenté le fait d’une vie conceptualisée dans les moindre détails comme les répétitions d’une pièce de théâtre. En amont. Jusqu’à l’incarnation, qui devient la représentation publique officielle. Aussi, que nos pressentiment ou bien évidemment, mes types comme d’autre types de perceptions, permettent de recevoir une indication entre les pires répétitions et les meilleurs, pour choisir au mieux lors de la représentation. Ce concept de par ma propre expérience vers mes 17 ans, non compréhensible à l’époque et soutenant la psychose et la névrose, reste un concept relatif car il ne met pas convenable de généraliser sur le voyage des âmes. Toutefois, voyant la photo “d’ado’” de Fati, j’ai eu le sentiment d’avoir été amoureux d’elle dans mon adolescence ! Pour “finir” avec ce concept, il ouvre aussi à la conscientisation qu’en tant qu’incarné nous avons des rôles jouer et tel l’acteur à l’œuvre, avons le choix de nos jeux, par les forces de notre individualité proposable par le concept développé par Carl Gustave Jung, d’individuation. Je ne me rends compte d’avoir déjà partagé ceci mais cela ainsi, m’était nécessaire.
Surprise majeur ce Samedi matin !
Qui d’ailleurs est un jour en 7 (2+5=7) pour l’esprit (esprit, paix), en 5 (changement, renouveau, présent) pour l’âme et en 8 (réussite, abondance) pour le corps et la relation au monde.
Ce qui de manière personnelle m’offre un 12 donc un 3 (communication, trinité) en esprit. Un 13 donc un 4 (fondation, actions), en âme. Et un 30 donc un Lamed et un 3 (cœur qui comprend la connaissance et communication, trinité) en corps et relation au monde.
Pour Fati il s’agira d’un 26 donc YHVH et un 8 (je suis celui qui est et abondance, réussite) pour l’esprit. Un 10 donc “capitaine” et 1 (commencent, leadership, soi-même) pour son âme. Et d’un 24 donc 6 (harmonie, guérison) pour son corps et sa relation au monde.
Ceci nous offre alors pour ce Samedi, comme vibrations combinées, un 3+8=11 (angélisme, inspiration) pour notre esprit commun. Un 4+1=5 (changement, renouveau, présent) pour nos âmes ensembles. Et un 3+6=9 (idéal, altruisme, ascension) pour nos corps et notre relation au monde !
Enfin, le cycle commun pour ce, je nous le souhaite, grand jour, car nous avons “le droit” de Monter en Amour, et donc (2+5+0+5+2+0+2+4+2+3+0+8+1+9+8+4)= 56. (2+5+0+5+2+0+2+4+1+0+0+5+1+9+7+7)=50. Soit 56+50=106=7 (esprit, intelligence, paix !!!)
Soit deux esprit angéliques, fait d’une âme au présent et d’une relation au monde idéale, rencontrent un ange (56 : 11 et une humaine complète (nun : 50).
Et tant que j’y suis, nos deux vibrations annuelles sont ? Un 7 (Jul) + 11 (Fati)=18=9. Soit l’idéal, l’ascension, l’altruisme, la fin d’un cycle ! Excellence…
Yeah !!! Je me dois également de concevoir que la numérologie comme tout ésotérismes peut être lu et actif à la négative.
Maintenant vive le réel tout de même, love mystère prévaut et être soi-même et free, a à être la règle de ce Samedi !!!
Le dicton dit que l’on n’est jamais prêt dans la vie… Pourtant, tout entraînement, d’un sportif par exemple, le prépare au jour J. Ainsi, il est selon moi plus sage de dire que l’instant, chaque instant, est indubitablement un mystère mais que nous pouvons toujours nous y préparer.
Comme il n’est, pour vous lecteurs, lectrices, déjà plus un secret que ce mois de Mai 2024 fait lieu du début d’un ouvrage, ce depuis Mardi 22 Mai 2024 au soir, j’en profite pour poser, à la fois “l’avenir” et à la fois la magie ! De par ma conscientisation d’être enfin pleinement aligné à ce que porte mon “verbe” de naissance, Julien Claude, que le Jeudi est merveilleusement un jour, clé ! Cela car en mélangeant les lettres ça donne :
- La clé un jeudi
- Lui, en Jedi, cula (reculer, faire marche arrière)
- L’un, jeudi, a clé
- L’an, jeudi, clé U (u en alchimie : se remplir de)
- Élu Jedi, clan U
- Jedi, lu lacune
Étant donné que Julien Claude, en plus d’être lié au nom de la dynastie de Jules César (Julia Claudiens), à mon grand désarroi, et d’être un prénom-nom courant, j’ai aussi trouvé l’astuce de mélanger les lettres avec mon second prénom. Celui de mon grand-père tant aimé, Norbert. Donc Julien Norbert Claude :
- Le carré d’un joint bleu
- Le bleu d’un joint carré
- Le joint d’un carré bleu
Qui en littéral ne semble pas vouloir dire grand chose… Mais avec ma largesse métaphorique et analogique, me comble de bonheur et de foi ! Je fais toutefois le choix de garder cela intime, à présent que mon journal ne l’est plus.
17h31, je suis douché. J’ai préparé ma liste de courses, il n’y a plus qu’à décoller. Une clope et go !
En roulant vers le supermarché, arrivé à un rond point et suite à une reconnaissance de l’adéquation de mon comportement/réactivité de conducteur (je ne klaxonne jamais en cas de “heurt”, car je suis occupé à maîtriser le véhicule et à remercie de m’en être bien tiré). J’ai eu une fulgurance :
“Toute personne qui peut se dire : Quelle chance j’ai de fonctionner ainsi ! Ne peux qu’être fier de lui et s’aimer pleinement !”
J’ai donc fait le plein de courses ! 120 boules, ouille… Vu que j’ai toujours autant envie de faire le ménage et d’écrire, je fais le choix d’inverser le process et d’écrire d’abord. Plus exactement, saisir 26 pages !
19h45 c’est parti !
21h11, il m’en reste 22 pages, soit une durée de 03h40 pour 4 pages… (cela en ayant une très légère conversation avec Fati).
Je me suis donc choisi une nuit blanche à écrire (saisir) et faire le ménage à la suite. Me faisant un café, je me réjouis d’arriver à faire le ménage, et j’entends alors, bien évidemment :” tu ne le feras pas”. Ce à quoi je réponds, énervé et confiant, que si, me tapant dans les mains. Mais je me demande et formule aussi à la suite : “qu’en serait-il avec le soutien à la positive ?…