Je prends la plume car entre avant hier soir et maintenant, 03h53, j’ai conscientisé pas mal de choses.
En premier lieu, la nuit blanche de Jeudi dernier m’a amené à annuler le rdv avec l’infirmier psychologue de Vendredi après-midi. Ce qui fait que je n’ai pas validé mon examen. Sauf que depuis lors j’ai bien reconnu que malgré les douleurs, entre autres de l’attouchement et leviers auditifs persécuteurs, je vis pleinement en intégration de l’expression relative du Divin ainsi qu’en entendant des mala’hak à polarité positive. Ce qui me pousse à intégrer que quelque soit mes capacités et les reconnaissances que j’en reçois, j’ai à expérimenter avec des données qui ne peuvent pas toujours opérer avec neutralité et qui de par le processus obscur passé, qui a généré ce que je nomme des désobligeances et bien le choix dans le réel reste le même que depuis le début. Soit que le négatif me pousse à choisir mais bien aussi à sublimer le positif ! Certes ce n’est pas une base sereine mais c’est une base qui a toujours bien opéré. D’autant que hors de ce léger chahut intérieur, ma Réalité en partage avec autrui est quasi parfaite et même plutôt heureuse dans une mesure de présence. Ceci porte également l’idée qu’il n’y a aucune solution qui rendra plus blanc le blanc mais qui aimerait rendre un passé obscur lumineux, ceci est voué à l’échec et n’est absolument pas et même plus, constructif à présent. Bye bye le passé et ses grandes leçons, bonjour le présent et ses justes moments !
Un autre point de conscientisation est que la flamme jumelle a à être pleinement acceptée comme décédée et donc introuvable sur terre. Que l’amour pour Nalla tient plus maintenant de la tristesse que de l’amour et surtout d’une tristesse nullement utile ou vitale. Donc stop la tristesse !
Ensuite grâce à mon mantra des 3 questions, il m’apparaît quasi tous les jours l’occasion d’échanger un brin avec quelqu’un. Certes ça n’est pas toujours fou fou ou même porté à une grande histoire mais c’est toujours ça de vécu relationnellement. De là, reconnaître que le Divin tout comme le Juju céleste, se sont écrits et répétés une vie où rien n’est erroné si ce n’est les erreurs utiles et que par conséquent advienne que pourra !
J’ai clairement à ressentir le détachement à ce besoin que les autres et plus précisément une autre, pourvoient à mon bonheur. Les douleurs de santé physique indiquant clairement cela… Non pas que je me réjouisse ou me sente pleinement capable d’avoir 1, 2 ou 3 ans de célibat à vivre mais si ça devait bien être le cas, dans 1, 2 ou 3 ans, je sais de par avance que j’y arriverai en me disant : j’en suis, je l’ai vécu, j’suis pas mourru ! Bref, gros besoin de détente.
Ce qui m’a ouvert à deux choses, la première étant que j’ai hâte d’être en Septembre-Octobre pour pratiquer ma méthode de trading et alors m’offrir une perspective de vie tout autre, soit passant simplement de pauvre ou je ne peux “rien” dépenser, à riche où financièrement j’aurais les moyens de mes envies consommables, telle qu’une moto, un resto en bord de mer et j’en passe tous les possibles si j’en viens à aller jusqu’aux fameux voyages.
Et en second, la chose que j’ai vu est l’espace où rédiger la cosmogonie des mala’hak, en introduction de “recueil angélique de l’âme ô êtoiles” et c’est une chose déjà faite durant la nuit, et de qualité car j’y ai synthétisé correctement les origines et j’ai pu y valoriser autant le propre actif que le propre relatif et subjectif. Étant partisan d’un rêve des origines libre au bonheur et à la fonctionnalité de chacun. L’histoire de “mon Dieu et ma vérité sont les meilleures” est selon moi l’histoire la plus tragique concernant le Divin en humanité.
Sur ce l’été est là mais sans la flambée de Soleil… Ce qui change des canicules habituelles.
Aussi, bien qu’en le disant vite, je gère mes disciplines quotidiennes. Mes journées sont portées par une bonne flemme de bosser, ce qui à ce stade n’est pas foncièrement compromettant. Effectivement j’ai plutôt l’instinct à la rêverie et à la papote, au moins il y en a une que je peux me servir tout seul et je ne me gêne pas.
Le fait que dès le 3 juin l’Ultime Challenge s’est pris un revers balèze du hasard, m’a calmé sur la potentielle arrogance de faire les choses comme un Wonderman. J’ai envie de dire oui, j’aime glander, maintenant je cuisine, la maison est clean, je me strippe les dents qui ne blanchissent pas d’ailleurs, pour le reste c’est plutôt de lien humain dont j’ai vraiment “besoin” plutôt que de sport et de boulot et comme je suis trop mature pour retomber dans le piège de la compensation par l’ambition et bien j’assume mon instinct de glandeur ! Qui verra apparaître ce que et qui de droit en temps et en heure ! Yallah !!! Amdullah.