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À 02h09, ce que je continue c’est la difficulté d’avoir naturellement l’envie comme le besoin de dormir… Pourtant tout était là hier soir. Fier de m’être offert 3 réalisations sur 12 un Dimanche. Soit le repas vrai, vivant, varié, dont aussi dinguo que cela puisse paraître, je sens déjà les effets, tel que ventre tonique et perception d’une forme de “meilleure” vitalité. Aussi le lavage des dents du soir, puis une petite méditation après avoir regardé un épisode et demi de la série “shogun”. Souhaitant m’endormir à la suite de la méditation, le mental ne pu s’empêcher de cavaler dans l’imaginaire. Passé une bonne heure en intensité mentale, je compris l’impossibilité d’accéder au sommeil. Je me fis un cawa et réfléchissais sur le pourquoi d’une telle imagination.
La conclusion m’apparut, ce Dimanche soir, je me suis couché habité de la conscientisation du chapitre précédent qui d’ici 76 jours “exactement”, sera rendu public. Ma transparence n’est effective que depuis 2 jours et pourtant au fond demeure un grand besoin de responsabilisation pour cause de 31 chapitres (j’ai compté), où pour nombre d’entre-eux, l’information libérée est tout sauf anodine. Avant tout pour moi-même mais au combien aussi pour mes proches et les différents “types” de lecteurs et lectrices. Certes j’ose, certes c’est catharsistique, certes c’est pédagogique, certes ça peut être utile, mais bon sang de bois, le mystère est complètement à l’œuvre ! Souvenez-vous que pour moi ça ne fait que 2 jours que je post publiquement.
Hier était titré “intelligence” et bien il se trouve que de bonne foi, je ne vais pas en manquer et me réserver dès à présent et formellement, une partie de mon journal en intime donc en exclusivité ! Ceci est dit. Ceci néanmoins, ne m’amène pas à modifier d’une quelconque façon les écrits passés. Ce n’est certes que ma parole, mais celle-ci met importante. D’ailleurs quoi dire à son sujet ? Maintenant que j’ai pu reconnaître la valeur catharsistique et transmissive de cet “ouvrage”. Jeu de transparence, quand tu nous tiens ! (Parce que c’est bon, bravo Jul !!!)
Que oui, enfant et adolescent, j’ai bel et bien était menteur. Bouh ! Le monstre ! Diablerie ! Mécréant ! Punissons le pour l’éternité ! L’erreur doit être absolument abolie dans le monde entier ! Au combien évidemment pour un gosse et un adolescent ! Ironie entendue, je l’espère, j’ai menti tôt et ce avec aplomb (toujours grillé cela dit). Néanmoins, les failles de mon éducation par le manque de communication, d’instruction appropriée, de reconnaissance à la hauteur subjective de ma nature et capacités et d’un certain laxisme paradoxalement au fait d’une culpabilisation inconsciente, ne m’a pas aidé. Le manque de reconnaissance induit dans mon cas de ne pas avoir personnellement conscientisé rapidement, d’une part les vertus de la communication évoluée de la transmission de mes expériences, épreuves et erreurs. Et d’autre part, d’être fait d’une grande imagination compensatrice. Mais tel le “béni oui oui” que j’étais, ne fut jamais révélé et conscientisé loyalement dans ces temps de jeunesse. Ce qui m’amenait assez souvent à mentir surtout après avoir vécu des blessures traumatiques que j’enfouissais profondément dans mes abîmes grâce à un simple tour de sommeil. En gros, j’oubliais, j’avançais, j’ignorais, ce que j’avais vécu la “veille” et de grave… Jusqu’à l’approche de mes 18 ans où bien sûr avec lesdits symptômes schizophréniques, tout mon “petit” passé, met revenu à la figure. En mode éruption volcanique ou plus précisément, le Ciel m’est tombé sur la tête !
De par la communication avec l’invisible, je ne mis pas longtemps pour pleinement choisir de toujours faire de mon mieux pour m’exprimer au plus près de ma vérité. Bien sûr il y eut parfois des manquements dus entre autres à la culture du Sud Est de la France d’aimer les fables et l’exagération mais aussi, à ce principe simple et commun de l’un des plus récurent mensonge humain, où lors d’un cœur blessé ou d’un cerveau “pété” ou même pour de plus petits tracas, nous sommes nombreux.ses à répondre ce que le musicien Volo traduit à merveille : “la p’tite angoisse et la déprime qui vont qui viennent, lorsqu’on me demande si ça va, je suis comme tout le monde, je réponds bien”. Mensonge ! 😜
Là je choisis ma tournure pour parler de ma parole qui aime correspondre au respect, à l’indulgence, à la tolérance, au questionnement dit aussi recherche et à la bonne foi..
Bien… 02h47, la nuit comme la journée vont être longues… Évidemment je boirai moult cafés, peut-être un jus de fruit, je n’ai pas à me réveiller à 05h00 ou 05h22, je peux m’offrir la méditation du matin quand je le souhaite et si jamais dans la journée j’ai physiquement et moralement le besoin de dormir et bien… Je dormirai.
Ce qui reportera alors la part sportive de l’Ultime Challenge soit à la semaine prochaine, de par l’optique habituelle que tout grand commencement se fait un Lundi. Mais qui peut aussi démarrer un Mardi, de par l’optique d’un propre humain qui commence tout juste à germer, celui de l’indulgence et du respect de l’incertitude, où je peux très bien m’offrir une reprise du sport en douceur. Avec l’électrostimulation, 1 ou 2 ou 3 fois dans la semaine. Ainsi au fil du temps, que toutes nouvelles habitudes pourraient peut-être s’intégrer en douceur est sacrément judicieux et respectueux de la relativité du possible des mois et d’une année. Si Julien étymologiquement signifie aussi douceur, et bien après ces 10 dernières années de grosses pressions dans mes dents, concernant les projets/initiatives/rêves et désirs, je me sens de pratiquer ce que j’arrive progressivement à reconnaître de moi-même. Soit la capacité naturelle d’une “grande” douceur. Que dire à ceux et ou celles qui ont pu me juger dur ?…
“Nous avons tous droit de nous recréer à neuf, car nous sommes qui nous choisissons d’être à chaque instant et nullement obligé de rester le ou la même que celui où celle du passé !”
Après m’être offert une écriture vraiment intime concernant une part de la réalité de Nalla, m’amenant à développer mon choix de respect avec ma présence ou mon silence mais surtout mon soutien, je rouvre l’écriture indubitablement public. Pour dire quoi de puissant et profond ? Cawa !!!
Cawa faisant, je me suis rappelé quelques idéaux jadis inspirés. Outre l’actualité officielle que je ne commenterai pas, selon le sens et l’acceptation de mes capacités et de mes responsabilités, j’ai envie de parler à la jeunesse et à n’importe quel adulte se sentant concerné, du pouvoir sur soi et avec le monde qui ne peut se passer de vocabulaire ! Les précurseurs du hip hop aux États-Unis tels que entre autres les Zoulous comme en France (beaucoup) reconnaissaient cela et le partageaient avec brio clamant : “Le savoir est une arme, ne l’oublie jamais !”
Purée… À quand “les gens”, vous comprendrez le sens (entendre l’étymologie)(merci voisine d’enfance pour la main tendue au collège pour le latin qui par “fait” était trop tôt pour moi) et la portée de la phrase de Lao Tseu : “quand les gens perdent le sens des mots, ils perdent leur liberté”. Hormis à un certain degré de conscience, nos pensées faites de mots, créaient notre état d’être ! Ceci est même validé scientifiquement sous le terme de “prophétie auto-réalisatrice”. Je ne vois pas quoi dire de plus sauf qu’avec les bons mots, on se comprend mieux, on se choisit mieux, on choisit mieux son présent et ses perspectives futures, on comprend mieux la racine à toute “œuvre” qui est de faire de son mieux ! Bon… Vous me direz peut-être, chacun sa vie. À juste ou à tort, l’imagination de cette tentative échouée d’endormissement, m’à bien inspiré que tout ce que je peux vraiment savoir est ce que je sens et ressens et les mots que j’y associe, parler de vrai ou de faux, de juste ou d’erroné, me semble alors inaccessible…
Je fais simplement et j’espère humblement et allons-y appréciablement, de mon mieux. Désolé les “fan” de l’académie française qui est seule décisionnaire de la viabilité d’un mot mais, selon moi, la majorité des suffixes sont associables à un verbe. Référence au tant entendu “ce mot ne se dit pas”, et bien wrong… Les mots ont juste un autre pouvoir avec certains suffixes !
Comprenez pour exemple la portée du suffixe able : capable de, ou encore ité : état de.
Je ne sais pas si je publierai ou non, mais oups… Je me fais peur… Joyeusement heureusement ! Comme depuis quelques années maintenant, la majorité de mes nuits blanches sont plutôt heureuses. Simplement parce que j’y suis créatif et productif. Comme le propose Vincent London “il est plus souhaitable de manquer d’amour que d’activités pouvant être rémunératrice”. J’ai remanié les propos pour me permettre une distinction entre l’amour en soi, que l’on peut se donner “pleinement” à chaque instant et l’amour en partage où l’autre devient une source qui semble vital en soi. Aussi la distinction d’une activité qui puisse être rémunératrice sur un travail, car l’activité sans rémunération mais portant de l’ambition, de la récurrence et de la discipline est au combien aussi forte et saine qu’un travail. Également ces propos remaniés partages l’idée que manquer d’ambition ou d’argent fout souvent la “merde” dans un couple et peut être plus impactant pour un individu que le célibat solitaire. Toutefois, ceci me permet de rebondir avec une idée appuyée par mon expérience de bénéficiaire d’une allocation aux adultes handicapés où grâce à cela, je peux, car je le souhaite, en venir à participer au monde grâce à mes talents profonds.
Disons-nous bien que dans le passé, un artiste pouvait composer un seul tube voire deux ou trois, et se mettre en vacances pour le reste de sa vie ! Certes il a participé. Mais qu’est-ce qui justifie à ce point sa “récolte”, comparé à des personnes non concernées par un handicap de santé (ceci pour la France), mais au combien blessé voir traumatisé par une ou des épreuves de vie ? Personnes qui comme la plupart du peuple ont à vivre décemment sachant que nombre d’entre-elles ne révéleront jamais leur profond talent. Pour cause de survie, ou au mieux de sécurité, financière… Lorsqu’un ami m’a dit un jour “tu as de la chance dans ton malheur”, imaginez mon complexe d’être un blessé grave par la vie, comme beaucoup d’autres, qui reçoit le droit d’apprendre à d’abord mieux vivre avec ses blessures graves puis, à se révéler pleinement à lui-même pour en venir à se “guérir” et même développer une méthode permettant des guérisons spontanées, grâce au fait d’avoir le droit à ce qui par extension peut être assimilé à un revenu universel de vie.
Je suis l’exemple même que investir dans le temps d’évolution d’un jeune, peut être gage d’une belle, riche et utile, participation future ! Pour conclure, j’aimerai proposer ce prisme de vue qui manque de popularité selon moi, où certains et certaines, rejettent, critiquent, jugent et condamnent des modes de vie ou plutôt des moyens de vivre, qu’ils et ou elles, se souhaitent eux-mêmes. Où est-il logique de rejeter, de critiquer, de juger, de condamner, ce que de manière honnête, par les moyens par exemple, on aimerait vivre ? J’ai aussi un autre appui rhétorique à proposer en lien au rejet, à la critique, au jugement et à la condamnation idéologique par la voie religieuse. Où religieusement on rejette, critique, juge et condamne ceux et ou celles qui défendent leurs vérités. N’est-ce pas ce même principe qui a mené Yeshua sur la croix ? Et n’est-ce pas ce même Yeshua qui nous a légué la formule “ne fais pas aux autres ce que tu n’aimerais pas que l’on te fasse” ? Où aujourd’hui un auteur comme Bernard Werber nous propose “fais aux autres ce que tu aimerais qu’ils te fassent”. Pour enfoncer les clous justement 😝, j’ai envie de dire que ce mécanisme et pire que de l’illogisme car cela démontre en fait que l’on condamne non pas ce que l’on s’autorise, ce qui est déjà illogique, non, on en vient à critiquer, juger, rejeter, condamner, ce que l’on défend ! Soit ce en quoi on croit comme capital pour notre foi et notre vie ensemble. Illogisme ? J’en appelle à un maître de la langue française à m’offrir le mot correspondant, tellement il doit être dingue…🤣😅🤪😅🤣 Pour donner un exemple dans le cadre religieux, un lgbtqx+ affirme que sa vérité est un bonheur à être ainsi, donc le condamner, le juger, le critiquer et le rejeter est le propre de ne pas lui autoriser sa vérité, ce qui fût le propre de l’expérience certes de Yeshua mais aussi de beaucoup de prophètes ou messager à qui “on” a fait la guerre pour ce principe de leur vérité qui en plus de base visait juste et justement à pouvoir être libre et heureux… Et pour enterrer le cadavre, je rajoute l’axe proposable du “oui mais ils avaient tort ceux qui ont fait la guerre !” 🤣🤣🤣
Conclusion par une sagesse bouddhistes, décemment ignorant du karma factuel commun, je fais le choix de la non violence en moi avant tout. Et bizarrement ou plus exactement divinement cela génère la paix en soi et autour de soi !
Puis tiens je ne vais pas m’arrêter là. Avec l’idéologie d’une certaine nature, entendons-nous bien que de nos jours entendre une voix ou réaliser un miracle sont considérés comme une folie, une maladie ou encore une diablerie. Ainsi, qui est qui et quoi ? 😜🤣🥰😇🥰🤣😜
Bon, avec un peu de chance mes idées sont claires et accessibles.
L’avenir public répondra ce que de droit ! Amon !!!
Sur ce 03h58, saisie ! (Et fin du partage public, trop long autrement, sorry !)
Fin de saisie 06h13…