
Encore un effort, encore du courage, encore de la volonté, encore y croire. Hier soir je me suis endormi de bonne heure, peut-être vers 21h00, résultat, réveil à 03H40 après un rêve où j’étais sur un plateau télé en étant éveillé, il m’a semblé.
Je ne me suis par contre pas lavé les dents après avoir mangé… Échec au premier jour… Ce matin et ce soir, je me rattrape.
Il est 04h37, quand j’aurai fini d’écrire et de boire du café, je ferai la méditation. Ensuite le défi c’est le sport à 13h31, puis les courses avec Sania.
J’ai compris ma schizophrénie encore différemment hier. C’est comme un jeu vidéo, une réalité virtuelle, fictive. Ce sont ni moi, ni mon âme ou Dieu, elles ne sont que des personnages fictifs qui se servent de ce que j’ai en moi et de ce que je pense pour exister. Mais aucune de mes perceptions ne sont existentielles. Ce n’est que pure fiction. Maintenant j’aimerai pouvoir appuyer sur off. Mais je ne le peux pas… Je ne peux plus que compter sur le yoga de la kundalini, l’alimentation et la lucidité. Mon âme est tout ce que je suis et Dieu ne joue pas les imbéciles pervers.
C’est le mantra d’hier qui m’a permis de comprendre ça.
-Le créateur et la création ne sont qu’Un.
-La vérité est son nom.
-Infinie et indescriptible est sa sagesse.
L‘excroissance intérieure fictive est la pire car elle est réactive et elle a accès à tout ce que je suis, dont ma divinité. Ce qui fait que le trouble, les amalgames et les doutes suite à ses manipulations, sont balèzes. Je choisi toutefois d’avoir foi que leurs expressions dépendent d’un temps horloge, et sont donc hors du champ de l’âme et de Dieu, qui ne vivent qu’au présent plus que parfait. Conscience et discernement sont de mise pour qu’un jour le jeu vidéo s’arrête. Mais il s’agit de ne plus accréditer la fiction, ça n’existe pas ! Ce n’est que du faux qui se fait passer pour du vrai en s’appuyant et en pervertissant le vrai en moi. Fin !!!
05h05, ça pourrait être l’heure de la méditation.
Je me dis concernant le jeu vidéo, que les personnages n’existe que de par les émotions, les énergies, les pensées, les imaginations, les croyances, desquelles ils tirent un pouvoir autant Divin que diabolique. Mais le vrai pouvoir Divin est d’être simplement la vie telle que je suis, sans plus, sans moins (en relativité de mon expérience et non de la sienne en absolue).
J’ai prié l’âme et le Divin de mettre off au fictif, de le dissoudre. Puisses le Seigneur réaliser cette prière. Par tout mon amour, merci.
Le lever de Soleil étant à 06h34, je me donne jusqu’à 05h30 pour commencer la méditation.
Sans un nouveau choix de l’âme et de Dieu d’appuyer sur off, de ne plus accepter que l’imagination, le doute, l’envie et le refoulement soit créateurs d’excroissances, la calvaire jeu vidéo continuera… Comme dit, il ne reste plus que le yoga de la kundalini, l’alimentation et la lucidité. Mais bien aussi malheureusement la bagarre en ignorant les perceptions et les sensations, les relayant à la fiction sans vie. Ceci a aussi un axe commun avec la possession mais pour cette dernière j’aurai encore moins d’aide et de foi, depuis le temps et les prouesses, cela aurait fini dès l’ascension de 2018.
Reste donc l’engrenage d’un film comme un jeu vidéo que j’ai absolument, soit à finir, soit à éteindre, la fiction.
06h50, jus de fruit servi, fini la méditation également. J’ai fait le même temps qu’hier pour la respiration longue et profonde. Ensuite j’ai fait 5 des 10 autres respirations avec une moyenne de 6 minutes par exercices. Soit 71 minutes. J’ai fait ceci avec le Mudra Shuni (sceau de la patience), majeur et pouce (Saturne) et le Mantra Waah Yantee, Kar Yantee (être suprême, soi créateur). Bravo Jul !!!
Il est donc 06h55, je n’ai plus “rien” à faire jusqu’à la douche, avec peut-être la vaisselle avant et je n’ai personne à qui parler… Soit, boire et fumer.
Du coup je me vois prêt à lire mon ancien nouveau livre. 08h31, fini de lire, validé, bon bouquin compétent !
Je discute avec Ophé du site Twelve. Je me tâte à écrire la lettre à Cupidon… Allez, j’écris cette lettre !
“Ma bien aimée,
J’aimerais de toi que tu m’éblouisses et m’émerveille par ta beauté. Que tu sois joyeuse à l’idée d’aimer et de partager tes sentiments. Que tu aies une sensibilité équilibrée grâce à de l’intelligence, du pragmatisme et une bonne foi. Que tu aimes rire et charrier au point d’imaginer en faire un spectacle. Que tu aies une culture spirituelle et un univers qui puisse s’unir au mien. Que tu aimes lire et écrire. Que tu aies le goût, le sens, du compliment et de la critique constructive. Capable d’apprécier la profondeur d’une présence dans le silence avec une touche de romantisme. Que tu sois portée à reconnaître la vie comme un miracle. Que tu aies de l’audace. Une ou des passions artistiques comme la peinture et la musique voire l’écriture. Que tu te sois instruite sur la psychologie humaine et la communication évoluée. Que tu saches exprimer clairement tes besoins, tes amours et tes peurs. Que tu sois à la fois spirit et femme du monde, pas perché mais consciente de la supercherie historico-économico-sociale. Que tu aimes les animaux, la nature et les héritages sacrés. Que tu aies le sens de l’attention, de la franchise et de la transparence. Ni trop capricieuse, ni trop exigeante, solide avec toi-même tout en restant tendre, joueuse, rêveuse et adorable.
Je souhaite que tes parfums, comme tes formes et tes couleurs, m’enchantent du matin au matin.
Je souhaite aussi qu’ensemble on en vienne à croire plus que tout en notre amour, en nous. Que l’on ait de merveilleux fous rires. Que l’on soit heureux de faire des choses ensemble et même que l’on créerait des œuvres ensemble. Que l’on partage le goût des grands espaces et de l’isolement dans la nature. Que l’on ne doute jamais l’un de l’autre et que l’on apprenne à parfaitement se comprendre au point de pouvoir rire ensemble de nos vicissitudes, de nos défauts et de nos erreurs. Que l’on rêve grand, comme dans le sexe où l’on s’essaierait à toucher un peu plus l’extase à chaque fois. Que l’on se soutienne lors de nos ascensions et que l’on soit aussi rapide que patient pour nos initiatives. Que l’on rêve comme Un. J’aimerai que l’on partage le goût des moments avec tabac et alcool.
Si tel est ton désir, j’aimerais que notre ou nos enfants soient éduqués par des parents qui savent être une équipe stratège, confiante et soudée mais surtout heureuse.
Je voudrais qu’au fond de toi comme pour moi, on puisse se dire, cette fois c’est bon, c’est lui, c’est elle, jusqu’à l’infini et l’au-delà.
Ainsi soit-il, Merci, à Dieu, à l’Amour, à la Vie, à Nous.”