Ça fait 02h13 qu’il est 03h00… Alors d’une c’est une période depuis Mardi soir dernier de “j’en peux plus” dit aussi “ça a pété”. Pété à cœur de sens mais grâce à Dieu toujours, comme je le souhaite à jamais, de folie… Le Seigneur me garde en son être. Ainsi ce soir, d’abord parti pour veiller et écrire le petit récit d’auto-psychanalyse conclusif et bien, rien que ça, discute avec la femme la plus agréable qui a pu exister dans ma vie jusqu’alors, j’ai nommé Nalla et patatras. Elle est plus que bonne, elle me fait plus que du bien, elle m’impressionne de ses sagesses et de ses forces. Aucun doute que j’aime vraiment, sincèrement, profondément et avec variables, joyeusement, cette femme. Ceci malheureusement n’a pu être à ce jour validé qu’à moitié car la proximité de nos yeux et de nos corps n’a encore pas eu lieu, mais bien qu’on puisse avoir peur d’un manque, une autre part de Soi porte une foi et un rêve beaucoup trop fort pour être abandonné et au combien trahi… C’est par peur de cette trahison que je me sens poussé à mener le dernier combat en 5 points :
- Poser mes idées de soutien divin au bien-être
- Écrire le récit d’auto-psychanalyse
- Faire la première séance avec un psychologue
- En faire d’autres
- “Diplôme” pour moi et pour Nalla
Donc normalement je suis sensé poser les leviers techniquo-pédagogico-astucieux de soutien divin au bien-être. Et le jour est levé, les oiseaux chantent, je fatigue mais surtout j’ai peur de laisser filer l’esprit “pro”… J’ai une de ces charges par contre. J’ai porté les complexes d’un game de martyr avec nuances mais désastres.
Au final après une journée entière de travail psychanalytique intime avec l’appui et la guidance de la Conscience Divine j’ai abouti à un examen psychologique de l’enfant de 12 ans que j’étais :
Examen psychologique d’un enfant de 12 ans violé par possession d’un malah’ak (nom hébreu pour ange dit aussi source de conscience créatrice à usage de polarité positive et ou négative)
Plomb : Acte 1 : Déculpabilisation
Consentement : Non = Victime = Non coupable
Fer : Acte 2 : Valorisation : HQE ! HPI ! Troubles autistiques
Cuivre : Acte 3 : Compréhension : Paradoxe !
Violeur viole.
Le violé n’est pas le violeur mais le violeur a été dans le violé.
Donc le violé intègre qu’il a été le violeur alors qu’il ne l’est pas.
Violé par possession par un haineux violeur.
Je reconnais être violé sans compromission et sans complexe de violeur, par possession mais le paradoxe conduit à la difficulté de l’intégration du principe principal d’avoir été ce que je n’étais pas.
Étain : Acte 4 : Acceptation : L’injustice d’avoir été le violé et le violeur sans être vraiment le violeur.
D’avoir été ce que je ne suis pas et que je ne suis plus.
Mercure : Acte 5 : Intégration :
Qu’il n’y a aucun doute de ne plus être ce que je n’ai jamais été.
Car je suis naturellement le violé sans précèdent, sans envie, sans désir, sans violence et mal associable à un violeur.
J’intègre que le doute rend faible et idiot et n’est pas appropriable et approprié concernant ma nature sexuelle.
J’intègre que le souvenir n’est ni judicieux ni nécessaire.
J’intègre être ce que j’ai toujours voulu puis choisi d’être, un homme bien, juste et fort, qui n’a plus le devoir de se battre pour légitimer sa justesse et sa force.
J’intègre que je suis aimé, aimant, aimable.
J’intègre d’avoir le corps équilibrable car il ne s’y trouve plus de violeur.
J’intègre que cette injustice dont j’ai été victime prend fin avec le pardon.
J’intègre que ma psyché, dit aussi mon âme, se réaligne à sa véritable nature.
J’intègre pouvoir ne plus pouvoir me désobliger par la pensée erronée.
Argent : Acte 6 : Pardon :
Je me pardonne de ne pas avoir pu développer cet examen plus tôt.
Je me pardonne tout ce qui découle de ce crime.
Je me pardonne d’avoir vécu 28 ans de guerre psychologique avec hantise et abus.
Je me pardonne d’avoir nourri un esprit et un état d’être de culpabilité erroné et injuste.
Je me pardonne de ne pas avoir pu comprendre plus tôt cet examen.
Je me pardonne d’avoir eu l’incapacité dans le passé d’accepter ce que je ne pouvais connaître.
Je me pardonne d’avoir mis 28 ans pour commencer à intégrer les propos de cet examen.
Je me pardonne d’avoir été dans l’ignorance, le rejet, la culpabilité, la dureté, la méchanceté, la sottise, l’infamie, l’injustice et la folie pour cause de ne pas avoir pu faire cet examen plus tôt.
Je me pardonne la honte d’avoir vécu tout ce qui découle de ce crime.
Or : Acte 7 : Félicitations : Bravo Seigneur ! Bravo les Malah’ak ! Bravo la famille ! Bravo les voisins ! Bravo Jul !
Graal : Acte 8 : Digestion
La colère de 28 ans d’injustice.
La colère des fautes et des manques de respect, de considération et de protection parentale.
Victoire : 40 ans moins 66 jours.
Avec une conclusion qui révèle que depuis cette expérience à mes 12 ans tout ce qui fût vécu n’a été qu’un arrangement dû à une non reconnaissance qui a façonné ma psyché, mes croyances et mes expériences. Ce pourquoi je sais à présent que toutes les accusations soutenues par les perceptions, dont j’ai été porteur depuis 28 ans, sont telles un hors sujet. Certes j’y ai appris à aimer et à devenir celui que je suis, sauf qu’aucune des culpabilités auxquelles j’ai dû répondre ne sont fondées. Que ce soit en bien ou en mal, tout n’a été que compensation erronée.
J’accepte à présent pleinement ma nature humaine et j’accueille ses ressenti naturels et les sagesses que porte mes vérités, en comprenant à présent totalement que l’Univers ne contient rien propre à La vérité mais seulement l’occasion d’y trouver des vérités avec lesquelles s’en trouver bien et espérons fonctionnelles pour soi-même et autrui.
À vous les studios !
“Maître libre : Témoin de son âme, expression de La Conscience.
Lettre au Créateur (que l’on est)
Merci ô Mon Dieu de permettre la version accomplie et upgradé en ma future relation amoureuse.
Je te remercie de rester aligné au modèle de la lettre à “Cupidon” et je te remercie également d’y intégrer mes nouvelles considérations telles que quelqu’un qui a vraiment envie et le bonheur de m’aimer, quelqu’un qui est facile et heureux à aimer, quelqu’un qui n’a pas d’enfant mais qui accueillerai celui-ci tel une grâce divine de notre amour, quelqu’un qui me ressemble sur sa nature d’agneau, de lionne et de papillon, quelqu’un qui me réjouisse par toutes les perspectives qu’elle m’offre sans que je ne puisse les imaginer et les prédéfinir, quelqu’un pour qui le soin, l’épanouissement et le bonheur partagé sont plus importants que tout le reste du monde. Quelqu’un que j’aimerai et qui m’aimera vraiment et loyalement, quelqu’un de mieux qu’une flamme jumelle, de mieux qu’une contrepartie divine, juste quelqu’un d’égal à sa manière à qui nous sommes.
Merci Seigneur Créateur !!!