Il est 00h52, on a passé la soirée à s’envoyer des blagues avec Fati. J’ai eu envie de boire du café et d’écrire. J’ai bu deux cafés et je n’ai pas écrit, lol… On se retrouve Samedi matin dans une ville à médiane distance. Je ne sais si j’aurai réussi à faire tout le ménage voulu… J’ai toutefois envie d’écrire… Ici pour commencer (le journal papier). Fati aime mon écriture. J’ai déjà réalisé le petit cadeau de la compatibilité astro-angélique plus tous nos points communs, 24 !
J’écris mal… J’ai moins de place étant en fin de page, je me rattrape sur ma nouvelle !
00h59, Fati revient blaguer. Mais elle va vite s’endormir je pense.
Qu’est-ce que je peux bien dire ?
Que en regardant l’une des photos de Fati, j’ai eu la sensation que l’amour de ses yeux et de sa bouche sont dans mon cœur depuis l’adolescence. L’impression de déjà la connaître. Ce à quoi la “théorie” du : j’ai déjà vécu ma vie. Donne du sens. J’espère juste que c’est bel et bien parce qu’elle sera une nouvelle véritable amoureuse. Soit celle qui me permet de ressentir un véritable amour comme avec “Eve” et avec Élise.
Voilà 8 ans que je n’ai plus ressenti cela, hormis l’Ultime de 2017 (Annabelle). Être amoureux réveille tout le meilleur de l’homme vrai que je suis, cela m’intègre au corps, au présent, à la joie, par l’amour. Aussi cela me permet d’être épanouie sexuellement et de ne plus avoir peur de l’avenir. Puisse-t-elle, ou plutôt, puissent nos âmes avoir déjà été Amoureuse l’une de l’autre.
Il y aura bien sûr à être attentionné, à faire un chouille de compromis et un minima de tolérance mais jusque là il semble qu’il y est énormément de bons ingrédients. J’ai hâte !!!
Sur ce, écriture d’un chapitre. Et j’hésite entre le destin et les espaces temps…
02h20 (ça vaut le détour !), je n’ai pas écrit, je me suis branlé… 02h26 (l’association, le couple et YHVH), après avoir relu ma fiche de compatibilité Fati-Julien, c’est donc évidemment bon signe !
J’ai rebu un café après avoir écouté si le corps avait envie de dormir et bien non… Logiquement je devrais soit écrire, soit faire le ménage, dont étendre le linge… En fait j’ai capté que tout mystère dit aussi futur inconnu, me coupe l’envie de dormir tant qu’il n’est pas résolu… Autant dire que les symptômes “schizophréniques” avaient de quoi me rendre insomniaque, lol…
Sauf que pour ce soir c’est le mystère de la destinée entre Fati et moi.. Je fébrile à l’idée de ne pas savoir si l’on va Monter en Amour et de quelle “manière” ou bien si walou… Réponse Samedi. Donc dans 3 jours…
De là, j’ai envie de faire une prière à la fois de grâce et vu la part de la lettre à “Cupidon”, à la fois de bon sens. Donc :
Par tout mon Amour et par tout Notre Amour, Merci Seigneur et Merci nos Âmes de permettre le bonheur amoureux écrit dans la lettre à “Cupidon”, entre Fati et moi-même. Par tout mon et Notre Amour, Je Nous Aime, Merci !!!”
Si j’hésite entre écrire sur le destin et écrire sur les espaces temps, c’est parce que je sais, l’ayant perçu viscéralement à 17 ans et vu concrètement en rêve que la vie entière est déjà vécue. La base technique étant qu’il existe en amont de l’expérience concrète, une expérience conceptuelle. Qui est “exactement” la même. D’une manière similaire à la répétition d’un film jusqu’à ce que la répétition soit au top pour que le film soit d’une part réalisé, d’une autre, projeté par l’expérience. Si exactement est entre guillemets c’est que j’ai aussi pu percevoir que “l’Esprit” de concept, lié à la répétition, a aussi une multitude de variables par toutes les versions/répétitions négatives et positives. Dont l’expérience conclut la version/représentation appropriable pour la suite du film. Ce pourquoi il est possible soit d’avoir une vision d’un pire ou d’un meilleur, soit d’avoir des pressentiment distinguables à ce but.
Partant de là, ceci étant déjà bien soutenu en expérience et en raisonnement et ayant une perception du visage de Fati connu depuis l’adolescence, je me sens prêt à écrire sur ce sujet. D’autant que le chapitre destin peut avoir du sens à être écrit après la conclusion sur l’espace temps offerte par l’expérience de la rencontre et bien plutôt, je le souhaite, de la retrouvaille. Il y a là une logique. J’aime y croire ! Toutefois, il est vrai que comme pour les goûts musicaux, où finalement l’on diverge un peu, peut-être que sûr les questions spiritualo-existentielles, on puisse diverger également. Seul le lien aux heures miroirs me donne une indication mais cela ne veut pas pour autant tout dire…
Surtout, étant un homme sacrément “blindé”, audacieux et non commun sur ces questions, ce n’est pas dit qu’elle puisse vraiment me suivre… En même temps rares sont ceux et celles qui ont déjà vécu une véritable apocalypse et un jihad intime… (au sens propre) Et bien moi… si… Est-elle née celle qui est apte à s’unir à un homme comme moi ? Telle est la plus grande question de cette destinée. Ce pourquoi j’ai bien raison d’écrire le chapitre sur le destin après un bon temps de, je le souhaite, bonheur Âmoureux avec Fati. Jusqu’à la clarté sur la destinée en très peu de temps, je crois cela possible grâce à la connaissance de mon état amoureux bien que le sien me soit inconnu, ce qui fait que je ne peux présumer de rien. Hormis que mon état amoureux me fige en éternité présente et ce plus que jamais, consciemment, depuis les 7 années d’expérience après “Annabelle” maintenant “Eva”, qui m’ont permis de comprendre, connaître, choisir et bénir ! À cela je rajoute, à ce stade, par habitude de la rupture, que cette fois si effectivement le don met, et nous est, donné, de ne jamais retirer de mon être cet Amour. Car il est de nature libre en Soi et avant tout pour Soi, et comme conscientisé avec le temps, il se donne, avec exclusivité certes (selon le choix du couple), mais seulement à celle qui le veut ! Un peu comme si l’amour venant par la grâce de l’autre était similaire à la grâce d’une mère d’offrir la vie. Une maman offre la vie pour qu’on la partage avec qui le souhaite, en prend soin ou dit autrement la respecte, bien l’amour, même le grand amour ne se partage que via ce modèle. Tout comme la vie est notre, l’amour aussi est notre et qu’importe la grâce de l’intermédiaire pour le vivre, il n’est pas un du d’exclusivité car ceci nous ferait redémarrer à zéro à chaque fois avec la racine d’une croyance inconsciente qu’il ne peut vraiment avoir de valeur qu’avec la première grâce comme si seule notre maman pouvait aimer partager notre vie. Je n’ai jamais été aussi clair sur le sujet ! Sans doute qu’intellectuellement et sentimentalement, ce qui est le mariage ultime, c’est validé ! Car l’amour comme la vie ne sont pas une possession. De là, j’aime néanmoins l’idée posée dans la lettre à “Cupidon”, que l’on puisse se dire, c’est bon, c’est lui, c’est elle, enfin, Merci, Yallah !!! Ad vitam æternam…
Je suis en train de commencer une nouvelle façon d’entrer en amour. Car j’ai eu la chance, donc le don, d’en connaître 5 !
- Élise, l’âme qui “sort” en vibrant vers elle.
- Brunette aux yeux noisettes, l’âme qui vibre puissamment en amont de croiser son regard, jusqu’à l’implosion, la téléportation, l’existence totale en tant qu’amour uniquement dans ses yeux.
- Émilie, nana dans l’émission “Recherche appartement ou maison” ou des “étoiles” en moi ont scintillé.
- 2018, état de béatitude et courte ascension.
- Sadhuguru, où dès “son” premier message vidéo, j’ai eu un flash de “lumière” en mon être au complet.
- Retrouvailles de Fati ! Qui sait ? Je le souhaite ! Par contre, surprise et donc mystère pour ce possible sixième don d’amour véritable.
Sachant que de toute mon expérience de vivant je n’aurais jamais été capable d’imaginer ne serait-ce que pour un seul de ces 5 dons, alors 6 ! Waw !!! Mon Dieu… Comment douter de ton génie ? En reconnaissant que cette formule est au minima un pléonasme ! Mdr !
L’écriture du journal du mois de Mai 2024 m’inspire de quoi écrire : “Journal intime d’un handicapé bénie, oui. Oui !” D’ailleurs je vais relire le mois de Mai !!!
“L’écriture est ma meilleure amie. Elle n’est pas personnifiée. Elle est un instant entre moi et la vie. La vie n’est pas personnifiée. Elle est un instant, et chaque part de cet instant, partage l’amitié de la vie. Que ma plume prolonge de son mieux.”