16h19, une journée en solitaire. Je pourrai prier les grâces du Seigneur, je pourrai pleurer les disgrâces de ma réalité. Je peux choisir de croire que j’ai à rebondir comme un kangourou, foncé vers ou attirer une “bombe extra” mieux que Nalla, comme le sous-tend l’amélioration de la lettre à “Cupidon” ou mes dispositions depuis prêt de deux semaines. Je peux aussi me dire que certes j’ai la capacité d’accepter une fin à mes sentiments pour Nalla, je peux aussi reconnaître que je n’en n’ai pas envie…
Je sais déjà ce que je compte écrire à la suite, les questions d’introduction sont : ai-je à ne pas abandonner ? Recommencer d’y croire ? Lui dire ce que je pense de nous et de notre point de rupture ou limite ? La réponse est oui. Toutefois à ce stade le message que je lui enverrai après qu’elle est passée sa zone de turbulences, ne sera pas forcément publique ou alors je lui demanderai son consentement.
La suite ne m’est pas encore accessible, ainsi je vous dis à très vite avec espérons une belle réponse et même un renouveau ou alors une fin. Où encore à tout de suite avec ces mots que je me donne pour les envoyer à Nalla…
Bien en fait, maintenant que le long message officiel est écrit, il va moulto de Soi qu’il restera intime ! 😝😊😇😊😝
Putaing je vous prépare, je me prépare mais j’ai juste plusieurs fucking de jours avant de pouvoir envoyer le texte à Nalla. Boudu, las boulas mas grandes ! En attendant je vais faire mes 8 petites missions par jour, écrire et ne parler à personne, pfiou c’est long de vivre défois…
“Ah le vice… Quel vilain troubadour. Toujours en train de faire des fausses notes et jamais capable de s’en rendre compte…”
Il aura juste fallu attendre 23h23 (belle forme !) pour que les conditions se prêtent à envoyer le texte à Nalla et d’en lire entre les lignes la réponse finale. Juju 3ème deuil en 1 mois… On prend la même marmite et on se remet au fourneau ! (Bonne métaphore maintenant que je cuisine comme un chef). Oh ! Que la bombe extra me fait rêver… Ironie bien sûr, qui durera le temps adéquat jusqu’à un renouveau. J’espère y être en moins de 7 à 8 ans pour y avoir de nouveau droit. Le Seigneur guide c’est au moins ça.
Bon bé je me demandais si je dormirai cette nuit, bien les larmes intérieures vont juste ne pas être d’accord. Au moins j’arrive aussi à rire du fait qu’un jour Nalla lira ce passage 😆😅😆. Je n’ose imaginer sa réaction, ce que je sais par contre c’est que la réponse du texte me permet d’avancer et tout comme lorsque j’ai eu à retrouver mon souffle malgré les côtes “pliées” à la chute de Vendredi matin, j’ai choisi les mots : j’avance, avancer. Et il avança ! 🤪🤣
Bon après, j’avance tellement bien que je me retrouve toujours sur mon canapé non converti avec un lit deux places inutilisable pour cause de principe à la con… Il est sûrement trop tôt pour les poser mais au vu de la suite en isolement, en solitaire et en silencieux qui peut m’attendre, je me donne immédiatement mon mantra de grâce, de puissance et de magie :
« Seigneur, quels miracles m’offres-tu aujourd’hui ? »
« Seigneur, par quoi vais-je être surpris, étonné, réjouis, émue, émerveillé ce jour ? »
« Seigneur, qui sera présent ce jour ? »
« Par Tout mon Amour Seigneur, Merci ! »
Quant à la musique qui joue à l’intérieur de mon être, puisse-t-elle se refléter dans ma Réalité de par ses plus belles notes… Je joue encore et toujours passant d’un style à un autre, mais toujours avec mes plus beaux textes et ma plus grande sincérité. (Allégorie de la loi d’attraction)
Loi d’attraction sur laquelle j’ai envie de m’épancher. Partant du principe que l’inconscient nous permet majoritairement de faire attention ou même voir le propre du désir que l’on porte en soi. Comme lorsque l’on souhaite s’offrir un style de voiture et que comme dans un monde non plus régi par le hasard, on ne voit que ce style de voiture, et bien le désir fait office de musique et la réalité de reflet de cette musique. Et bien je crois que dernièrement avec Nalla, le tube à cartonné par rapport à la lettre à ma bien aimée (ou Cupidon) ! Mais pas de pot, faut continuer de jouer. Ce pourquoi aussi rapide que le vent emportant les âmes enflammées, telle une flamme, le cyclone décime la masse d’affamés, désormais sur ma plage c’est le raz de marée… (saïan supa crew : raz de marée ; revisité pour un mot prêt)
Seigneur c’est à toi de jouer ! Je suis lessivé mais jamais prêt à abandonner ! Je vais pas prendre le mic mais purée fait péter ce son que je me porte jusqu’au tréfonds d’une putain de raison à exister, qui dit simplement : euh c’est pour quand que j’ai le droit d’avoir quelqu’un à aimer ? Et pas pour une cacahuète de temps en guise d’éternité. J’aime le présent mais je le préfère quand il peut durer !
Ey mais il est 00h10 ! C’est donc l’heure de passer au lendemain. Je vous dis bonjour et à dans 2 jours !