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Oulala, il y a des choses à dire depuis Samedi ! En premier, le réveil vers 08h00 avec vue sur un Ciel parfaitement bleu, ça fait du bien ! Merci Seigneur ! En second et pour la suite, un bilan de la fameuse rencontre de Fati.
Et bien ça n’est pas banal comme expérience… Le “dicton” dit : “Soit tu es une bénédiction, soit tu es une leçon”. Leçon donc !
Oui… Mais par où commencer ? Mon rapport personnel. Le fait de partir d’une maison propre, avec un corps qui sent bon et qui est joliment vêtu m’a mis dans les meilleures dispositions. Bien qu’à la base je ressentais un vide qui faisait peur d’avoir fait “tout” le ménage, dans la voiture j’ai “soufflé” un soulagement. Avec ceci j’ai convenu d’être le plus fidèle à moi-même possible. Cela m’a permis d’avoir une pensée légère, ouverte et accueillante, puis le Ciel, bien que voilé laissait tout de même paraître le Soleil et celui-ci me chauffait agréablement. L’esprit léger m’a permis, lors de ma marche vers le bar, traversant le marché sur son final, d’être tout à fait serein à l’entente des communications dont la majorité entraient en résonance avec mon monde intérieur. En sommes, j’ai enfin pu être en paix avec le principe de synchronicité “abusive”. J’attendais alors Fati, au Soleil, l’âme élevée, disposée à pouvoir révéler son potentiel tour de magie.
Fati arrivait. Élégante oui mais… en tous points de vue, sans aucune ressemblance à toutes ses photos ! C’est comme s’il y avait en face de moi, une amie à elle ou une de ses sœurs…
Je compris assez vite que mon état d’âme et d’esprit me permettaient de laisser vivre mon charme. Étant à la base très porté à croire en Fati et moi, je ne reniais pas ce fait et continuais de laisser grand ouvert mon cœur et mon charme. Néanmoins, le physique auquel j’avais à faire, n’ayant absolument rien à voir avec la photo “d’ado” qui m’avait ouvert tout un monde, je me résignais à me répondre que ma perception d’un bonheur partagé dans l’adolescence n’a en fait existé qu’en imagination. Certes l’imagination a bel et bien été vécue lors de la vue de la photo (dont l’image réelle n’avait jamais existée) mais c’est bien tout !
De là, la seconde leçon est encore plus dingue ! Fati a fait le choix, dont je ne peux savoir s’il était conscient ou inconscient, d’une part de n’être absolument pas disposé à un charme et à une magie, d’autres part de ne pas du tout me regarder et enfin d’exprimer l’esprit critique et piquant ou pinailleur pour tout et rien concernant tout individus et réalités alentours. C’était un festival ! Sa numérologie était clairement à l’envers…
Finalement on a quand-même papoté, je dirai sympathiquement, la réalité de son fils nous a permis d’avoir une bonne excuse pour vite se séparer. J’ai mangé un délicieux hamburger-frites de restaurant puis coup de barre mêlé à un coup de chaud, voiture, retour.
Une fois rentré, il me restait le choix entre la colère, le rejet, le chagrin ou la réflexion de me dire que si Fati m’a consciemment ou inconsciemment montré ce visage “négatif” c’est pour m’inspirer qu’il y a des personnes qui ont à faire à eux-mêmes de par deux réalités. La réalité intime dans son cocon, où l’on s’autorise à guérir les peurs et les blessures et à vivre le meilleur de soi-même. Et la réalité extérieure, où, dans le cas de Fati, se trouve selon moi, une grande peur d’autrui engendrant un désamour porté par un personnage qui rejette toute liberté et simplicité extérieure. Qui est de fait hors d’une aversion consciente, directe et manifeste envers soi. Mais qui n’est malheureusement pas pacifiée.
J’ai alors compris qu’il n’est, pour certain.es, loin d’être évident d’amener la philosophie constructive, pacifiante, fructive et prospère, à l’extérieur de son cocon. Ceci m’est “facilement” compréhensible car être fidèle à moi-même en démontrant les principes cités à été autant un calvaire qu’une mission durant toute ma vie à l’extérieur lorsque je ne m’y trouvais pas accompagné.
Plus tard, bien que je ne confiais pas tout cela à Fati, je lui dis être navré qu’il n’y ait eu de charme et de magie entre-nous. Elle m’en dit vouloir continuer l’échange car rare selon elle. Ce qui est juste pour moi aussi mais avec la nuance que nos échanges, nos affinités et nos points communs n’ont de réel sens qu’avec une relation épistolaire.
Plus tard encore, après quelques confidences en rapport à l’aversion de Fati envers les homophobes, une “révélation” me vient.
Mon enfance a été nourrie par un voisinage qui nous avait accusés, ma famille et donc moi-même d’être des “sheitan” soit “natas/satan/adversaire”. Cela car les voisins n’ignoraient pas l’homosexualité de ma mère et de mon frère, ainsi que ma première masturbation de préadolescent avec bougie anale pour explorer librement le plaisir de toutes les zones érogènes naturelles de mon corps. Défait de conditionnements (croyances populaires limitantes) et défait de fantasmes homosexuels mais passionné des possibles sexués de mon corps.
Ils ont pu avoir connaissance de ma pratique car je jetais la bougie par la fenêtre et les “charmantes” petites voisines allaient vite retrouver la chose dans une dynamique tabou et secrète de nous espionner. Ce à quoi la révélation par la moquerie avec haut parleur courant 2002, des voisins du dessus, de nous avoir manipulés mon meilleur ami et moi pour que l’on se viole, renforçait la déduction de leur homophobie. Conclu par le verdict des sheitan et d’en subir une sentence, cela sans procès, par la voie de l’invisible, potentiellement médiumnique voire de la sorcellerie.
Putaing ! Je me suis autorisé à protester envers la Pacha Mama et le Seigneur Météo, woh, le Ciel est tout pété ! Putaing y en a ras le kiki ! Pfiu… Relaxe, c’est acceptable avec la pirouette que je me suis inventée ! Où en vu des températures d’été pouvant atteindre les 40° voire les dépasser, que très peu ne tolère sans se plaindre, et le fait que sur une période de 10 à 15 ans cela ne va faire que croître, ces printemps grisous sont peut-être là pour nous préparer et préparer les végétaux en douceur à un futur qui nous sera difficile à accepter en étant encore plus caniculaire. Surtout en constatant que très peu de personnes arrivent à ne pas se plaindre du climat et ce quel qu’il soit, ne reconnaissant pas à la fois leur impuissance naturelle et à la fois ignorant le pouvoir des mots et des intentions porteurs de fréquences et au combien de la puissance de la gratitude sur les désastres de la complainte… Et si la Terre et son Ciel avait des oreilles ? Nous interpréterions encore plus pertinemment les manifestations climatiques et animales, lors de la pause de l’humanité durant le printemps Covid 2020.
12h07, Dieu merci, les nuages sont de nouveau absents.
Après titillage mental avec les homophobes religieux, j’ai convenu d’un crochet du droit symbolique, où tout angle de domination, qu’il soit religieux, politique ou relationnel, ne peut qu’avoir comme finalité un bim bada boum… Est-ce que le but d’un Dieu religieux ou autre, en ayant créé quelque chose propre à un miracle tel que la vie, cela avec un fait de diversité, l’a fait dans un but final de bim bada boum ? Ou selon le lien commun de la vie et de l’humanité, quelque soit ses diversités, est de tendre à toujours aimer un peu plus ? Que l’on fasse du bien ou du mal, il me semble que c’est là la racine de nos choix. Après… le monde Terrestre comme ses vies ne sont peut-être qu’un jouet pour le Divin créateur d’Univers, fait d’une incommensurable diversité Inimaginable, dont la finalité serait le bim bada boum. Mais s’y trouve-t-il vraiment un sens constatable ? Par notre racine à aimer et ce avec vue et jouissance d’une nature, d’une planète, d’une beauté rarement contestée ? Pour ce qu’il en est des sagesses et mises en garde propre à la réincarnation, je suis fier de mes deux ouvrages spirituel qui y répondent avec brio, démontrant le paradoxe du jeu qui en vaudrait la chandelle appuyé par le proverbe Chinois : “à petit doute sagesse limitée, à grand doute sagesse profonde…” 12h55 !
Aille aille aille, je le vois venir le 3 Juin… J’y songe et je l’oublie ? Non ! Bien qu’ayant peur, je connais la source d’un premier pas, d’un commencement. Il s’agit juste de le poser. Je suis toutefois partagé vis-à-vis de poser ce premier pas dans une maison où les carreaux sont propres, les deux radiateurs nettoyés, la tâche de coin dans la salle d’eau également, la douche débouchée et la poussière est faite, sont aboutis…
Tout l’équipement est là. Hier j’ai même fait une folie, en m’offrant un percolateur walégaine au top, à 115 euros… De là, je suis même équipé pour mon principal carburant. Ainsi, Samedi après-midi, j’ai à aller chez biocoop acheter les légumes de la semaine, puis leclerc dans l’espoir d’y trouver des briquets, aussi de la salade et de l’huile d’olive. Puis netto pour les courses référencées comme diverses.
Cette aprèm l’alarme sonne à 15h22 car j’ai rendez-vous chez le dentiste. J’ai d’ailleurs vers 14h00 à appeler la mutuelle pour, j’y tiens, obtenir les remboursements !
Rebelote avec la perspective des jours, six m’en séparant de l’Ultime Challenge. Et je me fais croire qu’il me serait vraiment profitable et possible, de réaliser les 5 tâches ménagères restantes… Oserais-je poser ne serait-ce qu’une seule action par jour ? Cela donnerait :
- Mercredi : radiateurs
- Jeudi : tâches salle d’eau
- Vendredi : carreaux
- Samedi : poussière
- Dimanche : débouchage de la douche
Qui sait ? Peut-être que oui, peut-être que non ? Je ne peux, malheureusement, me défaire de la conscientisation que poser chaque jours une action, peut-être un juste conditionnement à mon avenir pro actif, qui débute Lundi prochain… Certes soit certes…
Bon… Dans la vie il y a les chasseurs, les pêcheurs, les canards qui ont le double choix et la double portée et il y a les cueilleurs. Qui eux sont les poètes à l’affût de voir les fleurs éclores et s’épanouirs. It’s my team ! Ce qui fait que je suis de nouveau dans le jardin, cette fois celui de Twelve rencontre, où j’y ai attiré une fleur à mon goût nommée Nalla. Le point ésotérique intéressant est que tout comme moi elle est Ascendant Scorpion, qui présage que l’on puisse se comprendre dans les secteurs correspondants à la suite de l’ascendant. Toutefois, l’expérience de Fati me permet de faire un nouveau choix concernant les arts ésotériques. Je n’en tiens plus compte avant de voir s’il y a charme et ouverture et envie de magie des deux côtés et dans le concret du réel ! Néanmoins, comme toujours, souhait en devenir…
15h44 douche et go !!!
En souvenir de cette phrase entendu il y a 6 ans : “ elle est venue”, associée soit à la venue de Evannabelle, soit à la venue de l’Être d’Êtoiles ou Mère d’Êtoiles, rencontré en rêve (potentiellement prémonitoire de par le réalisme), je m’autorise à pouvoir rester quelques bonnes années de plus dans ce logement, mon espace liant les mondes d’en haut et les mondes d’en bas de par son verbe : chant du corbeau. Ce faisant, je viens de concevoir qu’en vidant complètement la cabane de ses inutilités, je pourrai y faire dormir une moto. De là je me suis laissé porté par la douce sensation rêvée où à l’occasion, je prendrai la moto en pleine nuit et je roulerai vers différentes plages de France pour y voir le lever du jour. Je pourrai alors transporter le matelas gonflable pour essayer de dormir avant une journée de promenades et de restaurants, avant un retour à ma charmante fermette (autrefois, 18ème siècle, maison de boulanger). Enfin, reprendre mes dynamiques quotidiennes propre à mes différentes années de Challenge.
Celui de 2024-2025 est baptisé Ultime, je me donne rendez-vous à celui de 2025-2026 pour y trouver son titre, selon le bon accomplissement de l’Ultime, dont le démarrage est au combien proche…
Heureusement que je vis au jour le jour !